1. Je serai pendu demain matin


    Datte: 31/10/2019, Catégories: f, fh, couple, amour, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... à grosses gouttes, la face cramoisie, la respiration haletante, il s’agenouille devant le postérieur de Jane. Lui empoignant vigoureusement les fesses et les élevant, il coince ses cuisses en dessous, maintient horizontale sa verge qu’il branle à deux ou trois reprises, puis pointe son gland vers la rondelle plissée du cul de Jane.
    
    Les jambes repliées sur sa poitrine, les chevilles en appui sur les épaules de Robert, Jane attend, victime absolument consentante de ce qui va suivre. Robert projette doucement son bassin en avant, et progressivement, à petites poussées, le bout de son gland commence à dilater l’anus de sa femme. Je ressens, en même temps que Jane, une douleur qui la crispe. Peu à peu cependant, la douleur diminue et est remplacée par une sensation de complétude due à l’épais sexe qui assouplit l’anneau musculeux qu’il tente de forcer. Heureusement, nous avions bien pratiqué ensemble cette pénétration durant les deux dernières années.
    
    Jane se retrouve bientôt avec l’anus suffisamment distendu, et je perçois nettement, comme un aboutissement, le renflement du gland dépasser enfin le sphincter. La douleur est encore là, mais supportable. Robert a bien compris qu’il a assuré sa victoire et que l’essentiel est fait. En vrai gentleman, cependant, il marque une pause.
    
    — Est-ce que ça va ? murmure-t-il, anxieux.
    — Cela fait mal, mais en même temps, c’est extrêmement bon !
    
    En mon for intérieur, j’approuve absolument. Il s’abstient de tout mouvement ...
    ... supplémentaire pendant quelques instants. Il pose simplement ses mains sur le mont de Vénus de Jane, passe ses doigts dans sa toison, et descendant ses pouces autour du clitoris, il commence, en pressant de part et d’autre sur ses grandes lèvres, à en masser le capuchon…
    
    La douleur reflue au fond des fesses de Jane dans le même temps qu’elle éprouve un plaisir grandissant au massage que Robert lui prodigue. Par ailleurs, l’impression d’invasion massive de son rectum, de possession absolue qu’elle subit, et ce nouveau massage ont rallumé les braises qui couvent dans son ventre depuis qu’ils sont arrivés dans la chambre.
    
    Progressivement, le bassin de Jane s’anime d’une vie propre, et la douleur de son anus disparaît à la pensée qu’elle se trouve enfin vraiment possédée à cet endroit-là, à cet endroit interdit, à cet endroit indicible, dont ils ont violé ensemble le tabou ; savoir que Robert va jouir au fond de son cul, tout ceci décuple la lame de fond qui s’emparée d’elle, de nous, et plus elle remue, plus la virilité de son mari s’impose ; plus sa possession s’affirme, plus elle ressent cette sensation de plénitude, d’être totalement, absolument comblée !
    
    — Allez-y… Mon amour… Baisez-moi fort… Maintenant !
    
    À cette supplique, Robert, dans un dernier mouvement, se retrouve totalement enfoui au fond des fesses de son épouse. Son sexe est maintenant un énorme mandrin, dur, long, tendu, pulsatif. Une fois introduit de tout son long, il repart en sens inverse, et la cyprine qui ...