Sandra
Datte: 30/10/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
train,
fsoumise,
cérébral,
revede,
fsoumisah,
Masturbation
Auteur: Merlincurieux, Source: Revebebe
... à regarder une femme, à l’air sage, élégante. La femme me regarda de temps à autre, rosissante, semblant comprendre le jeu entre nous.
J’étais si heureux de l’explorer ainsi, de lui offrir ce plaisir, de ce jeu dont nous ne parlerons jamais mais qu’elle me racontera en détail, ignorant toujours si c’était moi ou pas.
À chaque arrêt, nous nous arrangions pour rester collés l’un à l’autre, ma main jouant de ses fesses avant de s’immiscer entre ses cuisses, découvrant un boxer humide désormais. L’écarter mit un peu de temps, mais bientôt j’effleurai de mon majeur sa vulve trempée, ses lèvres ouvertes… Je remontai à son clitoris, récompensé d’un tressaillement. La femme semblait hypnotisée par le regard de Sandra qui ne la lâchait pas. Je m’enfonçai en elle au moment où les portes se fermèrent, d’un doigt curieux.
Je la masturbai un moment, accompagné du mouvement de ses hanches, parfaitement accordés… Quelques contorsions me permirent alors d’insérer mon annulaire en plus du majeur, mon pouce reposant sur l’anus de la belle…
Je ...
... me mis alors à la pistonner plus fort, récompensé par une mouille abondante enduisant rapidement ma main. Les mouvements de Sandra devinrent désordonnés alors que le plaisir montait… J’enfonçai lentement mon pouce en elle, sans autre réaction qu’une cambrure presque indécente. Je ne relâchais pas ma caresse, sachant la station de Sandra proche… Soudain, elle sembla se cabrer, se tétaniser, son sexe enserra mes doigts, et elle jouit en silence. La femme face à elle me regarda et me sourit, comme complice, peut-être un peu envieuse de cet orgasme.
Sandra resta immobile, tandis que ma main se remit à explorer ses fesses, laissant un boxer trempé de son plaisir.
Les portes s’ouvrirent ; elle descendit sans un regard en arrière. Altière et superbe. Je la regardai partir, ému, troublé, heureux.
Je rentrai chez moi et repris ma vie de famille, attendant le moment où je pourrais retrouver Sandra sur mon PC.
Je me connectai, elle était là. Elle m’interpela aussitôt :
– Bonjour ! J’ai quelque chose à te raconter !
Je t’aime, Sandra.