Sandra
Datte: 30/10/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
train,
fsoumise,
cérébral,
revede,
fsoumisah,
Masturbation
Auteur: Merlincurieux, Source: Revebebe
Au gré de mes discussions sur un célèbre site de chat, j’ai eu la chance de rencontrer Sandra.
Sandra. Toute en retenue, contrôle de soi et brûlant d’un feu intérieur soigneusement dissimulé aux yeux de tous. Une jeune femme modèle, étudiante brillante, issue d’une bonne famille, au destin tout tracé. Une jeune femme à la beauté classique au regard intense et sourire à faire fondre une banquise. Sportive, gourmande, taquine, rieuse. Mais aussi prudente, se protégeant de tous derrière une façade affable et courtoise.
Une complicité aussi instinctive qu’immédiate nous a liés dès nos premiers échanges. Malgré notre prudence respective, il devint vite évident que notre confiance réciproque était totale. Nous nous sommes raconté des choses que nul autre n’a jamais sues, et nous sommes découvert un attrait commun pour le plaisir de braver les interdits.
C’est alors que Sandra me fit part, sur ma demande curieuse, de son fantasme du moment. Qu’un inconnu, dans la cohue du métro, glisse sa main sous la jupe que cette belle jeune femme porte inévitablement lors des beaux jours, et explore longuement son charmant postérieur et son intimité.
Nos conversations revinrent dès lors régulièrement sur ce sujet, la belle s’ingéniant à me donner de nombreux indices sur ses horaires de cours, sur sa ligne de métro et les moments où elle l’empruntait. Toujours seule, souligna-t-elle. En filigrane, mais sans jamais être abordée, l’évidence était là : elle m’ouvrait la porte, ...
... m’autorisait à jouer d’elle afin de pouvoir assouvir ce désir qui la tenaillait. Mais, bien entendu, à la seule condition que jamais elle ne sache qui jouait ainsi d’elle dans la foule.
Bien entendu, un tel désir ne pouvait que me plaire, et la perspective de me mettre au service du plaisir de celle pour qui mes sentiments devenaient, à chaque échange, plus intenses, m’emplissait de joie.
Au fait des horaires de ma merveilleuse complice, je me mis à étudier l’heure idéale, celle où la densité de la foule cacherait notre jeu si troublant. Sans surprise, l’heure de sortie des bureaux, coïncidant avec la fin d’un cours de Sandra me parut la plus indiquée, sur cette ligne connue pour sa saturation. Le tout étant de me trouver bien placé le jour J. Il fallait aussi tomber sur un jour où Sandra était à la fois d’humeur joueuse et portait la tenue idéale, à savoir une jupe.
Aussi, par une belle journée de septembre, me postai-je sur le quai de la station de métro desservant la fac de ma belle. Camouflé dans la foule grâce à mes écouteurs et le regard vide de tout habitué des transports en commun, je me mis à l’affût. Après de longues minutes d’attente, je reconnus enfin Sandra, encore plus belle que sur les photos qu’elle m’avait montrées. L’immobilité de la pose ne pouvait en effet reproduire la grâce de ses gestes ni l’élégance de sa démarche. Elle était éblouissante dans sa courte jupe s’arrêtant à mi-cuisses, et son top révélant sa poitrine joliment ferme. Ses cheveux tombant sur ...