1. La reine des fourmis


    Datte: 30/10/2019, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

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    — Eh, les mecs ! On est aux eaux minérales. Elle en veut encore, mais laissez-lui un peu d’avance.
    — Alors, elle est aussi bonne qu’elle en a l’air ?
    — Mieux que ça, une suceuse hors-pair.
    
    Tandis que ses deux partenaires précédents, amorphes, les couilles bien vidées, s’avachissent sur les palettes de bouteilles, elle parcourt les allées d’un pied léger, les sens aux aguets, débordant d’énergie, comme dopée par l’adrénaline. Ses seins balancent librement au rythme de sa marche rapide, ses fesses, libres de toute entrave, lui semblent pour la première fois de sa vie pouvoir occuper tout l’espace qu’elles méritent. Elle jouit de l’air qui frôle son corps et soulève ses cheveux tant elle marche vite. Où va-t-elle ? Où veut-elle se faire attraper ? La voici au rayon jardin, elle s’étend dans une chaise longue pour se délasser un moment.
    
    Les palmiers artificiels qui bordent la "terrasse" où elle se trouve ont frémi. Ils sont là, derrière, ils l’observent, forme laiteuse cernée d’ombre. Un frisson lui parcourt le bassin. Deux hommes aux énormes sexes noirs sont tapis dans l’ombre à l’observer. Elle porte la main vers sa chatte, ça pulse fort là en bas, on ne peut pas la laisser ainsi béante et inutile. Rien, plus un bruit, et si elle avait rêvé, et si elle était seule, et si ils étaient tous partis boire une bière la laissant là toute seule ?
    
    Elle veut en avoir le cœur net, elle s’approche du palmier qu’elle avait cru voir bouger et explore des mains la jungle ...
    ... végétale qui l’environne. Elle aussi, elle sent. Elle sent une légère odeur de transpiration et une assez nette odeur de crème Nivéa. Voici un fauve qui doit avoir la peau bien douce. Elle ferme tout à fait les yeux et ne se fie plus qu’à son odorat. Enfin, elle saisit une branche tiède, souple et ferme, humide au bout, elle le tient. Elle le tient par le bon bout. Elle remonte doucement le long de cet impressionnant appendice jusqu’aux hanches, aux fesses, si fermes qu’elles pourraient servir de casse-noix. On dirait que le chasseur s’est délesté de ses oripeaux civilisés pour se rapprocher de sa proie. D’ailleurs, qui chasse qui ? Qui mange qui ? Pour l’instant, c’est elle qui poursuit du bout des lèvres son investigation. Elle suit la ligne qui va de la toison pubienne au nombril où elle risque une langue curieuse. Elle remonte en faisant glisser sa joue le long d’une impeccable ceinture abdominale dont chaque aspérité frémit à son passage. Elle goûte un téton qui s’affermit et devient tout grenu sous sa langue. Elle est debout contre le guerrier noir, commençant à découvrir son visage du bout des doigts, quand elle a étonnamment chaud. Comme si on lui avait posé une veste sur les épaules. Elle recule de quelques centimètres, et en fait de veste, elle est enveloppée par l’autre chasseur nu dont elle sent nettement le sexe en érection contre le bas de son dos. La voici de profil entre ces deux athlètes. Elle sent leur haleine sur son visage et leur queue sur ses hanches. Elle ...