1. La reine des fourmis


    Datte: 30/10/2019, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

    ... trompée !
    
    Il la besognait sans fébrilité mais avec l’assurance de quelqu’un qui sait qu’il est naturellement fait pour ça. C’est lui qui eut l’idée de la prendre sur la table du jardin. Les cuisses relevées jusqu’aux épaules, elle abandonna sa pédagogie et l’exhorta à la bourrer sans ménagement. Ils jouirent en même temps. Après cela, elle passa sa langue sur sa queue, manière de lui dire qu’après l’acte, il ne faut pas détaler comme un lapin. Puis elle partit, l’assurant qu’il était bon élève mais que le sexe recelait bien d’autres ressources. Toujours est-il qu’il en apprit bien plus en cette séance que d’autres hommes pendant toute leur existence.
    
    La main sur le menton, il se souvient de tout cela. Les accessoires indécents de sa mère et cette marraine venue le dépuceler. Deux évènements majeurs qui ont conditionné son destin et façonné irrémédiablement son esprit libertin, son besoin impérieux de sexe, sous toutes ses formes. Jamais au cours de sa vie, il n’a pu s’en passer. Ses velléités de mener une vie normale ont fait long feu, que ce soit à l’occasion d’un mariage aussi bref que calamiteux ou de quelques retraites à l’abri des tentations. Pour autant, il n’a pas sacrifié sa carrière professionnelle. Cinéaste de seconde zone, le milieu artistique dans lequel il évolue se prête bien à ces débordements. Pour le meilleur et pour le pire.
    
    Introduit dans le cercle des initiés grâce à une réputation qui s’est répandue comme une traînée de poudre, il n’a eu aucun ...
    ... mal à assouvir nombre de fantasmes, y compris les plus interdits, y compris avec des femmes auxquelles on aurait donné le Bon Dieu sans confession. Il tire toute sa force de persuasion dans son regard hypnotique et quelques mots bien placés. Pas plus tard que la semaine dernière, il a gagné son pari engagé avec ses amis de débauche : baiser debout, à l’arrière du bar, une bourgeoise désœuvrée qu’il a emmenée dans une boîte de nuit défraîchie où se côtoient des quinquagénaires en goguette débarqués de leur autocar. Un terrain d’aventure très excitant pour un vieux routier comme lui après le détour obligé par le restaurant. Il lui aura fallu seulement deux heures pour arriver à ses fins. La sainte nitouche, ou l’oie blanche c’est selon, a succombé, la culotte sur les chevilles, à son « amicale pression » sous les yeux ravis du barman complice et de quelques témoins oculaires en feignant d’ignorer que les coups de boutoir qu’elle recevait, cambrée contre le comptoir, ne pouvaient échapper aux regards avertis, quand bien même elle était dans la pénombre et essayait de garder une contenance. Il se souvient qu’après cette sérénade, elle a quitté précipitamment les lieux, mortifiée, se jurant qu’on ne l’y reprendrait plus.
    
    Ce qui est faux, bien sûr. Depuis longtemps il a appris à explorer la face cachée des femmes et il sait reconnaître, par un faisceau d’indices, celles qui sont prêtes, en dépit des apparences, à se livrer au stupre. Il sait par expérience qu’une femme a priori ...
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