1. L'infirmier


    Datte: 29/10/2019, Catégories: hh, inconnu, grossexe, vacances, jardin, hotel, Oral hdanus, hsodo, hbi, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... dans de telles circonstances. Il sait exactement adapter son rythme pour me donner les meilleures sensations, pour enfin cesser tout déplacement et rester parfaitement immobile. Seules ses mains sur moi restent actives. Lorsqu’enfin je finis par recouvrer mes esprits, je me rappelle qu’il s’est réservé pour satisfaire mes papilles. Le temps d’attraper une serviette pour essuyer mon sperme, je reviens me blottir contre lui.
    
    — De quelle planète viens-tu ? dis-je en saisissant la base de sa verge dont il a déjà ôté la capote.
    — De la même que la tienne, me semble-t-il. En tout cas, on parle le même langage !
    — On a l’air de bien se comprendre, en effet. Tu m’as fait jouir, un truc de dingue.
    — C’était bon on dirait.
    — Wouahhhh… il ne me manque plus qu’à te boire pour être comblé. Hummm… cette queue !
    
    Avec beaucoup de tendresse, je mets tout mon art à sa disposition. Plus ma bouche va-et-vient sur son membre, plus son nœud s’épaissit. L’orgasme le terrasse rapidement. Il décharge puissamment, comme si sa semence était intarissable. J’en avale chaque giclée avec délectation, la tête pleine d’étoiles et le ventre encore en émoi. Mon Dieu que cet homme est bon, et qu’il est bon de pêcher avec lui. Je le suce jusqu’à ce qu’il soit entièrement vidé et partiellement détendu.
    
    Ma tête sur son ventre, j’étreins tendrement ses bourses, fasciné par la beauté de son sexe. Lorsque je me sens bien avec un mec, je sais être très tactile, et son contact me fait le plus grand ...
    ... bien.
    
    — Tu préfères les filles ou les mecs ? demande-t-il en caressant mes épaules, remis de ses émotions.
    — Difficile d’être catégorique. Les deux je pense, mais je ne suis que passif avec les hommes. Il s’agit donc de deux types de rapport totalement opposés, pour moi. J’ai souvent l’impression d’être un trait d’union entre deux mots. Pour exister, il me faut les deux. Et toi ?
    — Uniquement les hommes. Les filles ne m’attirent absolument pas.
    — Tu as déjà essayé ?
    — Oui, deux fois vers les 18 ans. C’était plus pour me conforter dans mes convictions que par envie. Mais ça n’a rien révélé en moi, si ce n’est que je me suis définitivement senti homo. Sans aucun regret ni remords, d’ailleurs. Tu as commencé jeune avec les hommes ?
    — J’avais 19 ans quand j’ai voulu passer du fantasme à l’acte. Je venais de rompre avec une copine, et de plus en plus souvent, de belles queues dansaient devant mes yeux… Un mec m’a abordé sur un parking de drague homo. En discutant, il a vite compris que c’était une première pour moi et m’a proposé de le suivre chez lui prendre un verre, en tout bien tout honneur.
    — Tu n’as pas eu peur de le suivre ?
    — Euh… j’avais un putain de trac, mais tellement envie de mettre un goût sur mes rêves de mecs, que j’ai accepté.
    — Couillu comme démarche. Tu ne fais rien à moitié, toi. Et alors ?
    — Impulsif parfois, c’est vrai. Arrivé chez lui, il m’a servi un grand whisky – j’en avais besoin – puis m’a demandé ce que j’étais venu chercher sur ce parking. Rouge ...
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