L'infirmier
Datte: 29/10/2019,
Catégories:
hh,
inconnu,
grossexe,
vacances,
jardin,
hotel,
Oral
hdanus,
hsodo,
hbi,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... parasiter mes sens. Voilà ce dont je rêvais depuis des semaines : un mec qui m’excite et me présente quelque chose de bien consistant. Fier de ma trouvaille, je m’accroupis pour bien l’admirer et faire gentiment connaissance. N’y tenant plus, je fais glisser entre mes lèvres son vit prometteur.
Son beau gland doux se dilate en quelques va-et-vient pour devenir vraiment imposant. Je tâche de l’envoyer loin dans ma bouche pour remonter au maximum sa hampe du bord des lèvres, mais il est long autant qu’épais. Pas de mauvaises odeurs, pas de goûts forts, cette queue est un délice. Je gobe ses bourses à la saveur étrangement salée puis reprends ma succion de plus belle. Je ne suis pas pressé, mais mon besoin de sucer est ce soir à son paroxysme, je pourrais aisément en sucer 4 ou 5 à la suite.
Ses doigts étreignent mes cheveux pendant qu’il m’encourage à continuer cette excellente pipe. J’agrippe ses fesses à pleines mains et l’attire à moi pour mieux le sentir pénétrer ma bouche. Il m’accompagne dans ma recherche, n’hésitant plus à propulser son bassin en avant. Je reprends ses bourses d’une main en plaçant mon majeur sur son anus et le viole d’autorité, ce qui le fait instantanément durcir un peu plus entre mes lèvres.
Cette pipe n’est pas violente, mais tout de même très intense. Je pense que nous avons autant besoin l’un et l’autre d’accéder à la jouissance. D’ailleurs, il ne tarde pas à se déverser dans ma bouche. Il jouit en silence, se contentant de trembler de ...
... plaisir à chaque giclée, les couilles hautes, l’anus refermé compulsivement autour de mon doigt.
Enfin je renoue avec la semence d’un homme, cette douce récompense dont il est impossible de se passer dès lors que l’on y a goûté. J’en déguste les dernières gouttes en coulissant tout doucement sur sa hampe, évitant de trop insister sur son gland rendu hypersensible par sa jouissance. Mais sa queue, je ne la lui rends pas. Il m’est impossible de l’imaginer quitter ma bouche pour l’instant. Il débande en caressant mes cheveux, appréciant de toute évidence mon comportement à son égard.
— Tu aimes ça, j’ai l’impression, finit-il par chuchoter. Quelle fougue ! Elle n’était pas trop salée ? Je sors de la plage.
— J’adore, et j’en ai trop besoin ! répondis-je. Tu décharges toujours autant ?
— Désolé, mais quand on s’occupe bien d’elle…
— Elle est à adopter ? Je veux bien prendre son éducation en charge.
— Pas facile à gérer, elle prend beaucoup de place au quotidien, ironise-t-il en refermant méthodiquement son pantalon, visiblement peu pressé de s’enfuir. À moins d’être insatiable.
— Chiche ? Il ne faut pas trop m’en promettre ce soir, tu sais.
Nous sortons ensemble de notre zone d’ombre et marchons pour remonter l’allée. Au loin, les jeunes rient encore, il doit être 23 h 30, la fraîcheur de la nuit est si agréable. Nous marchons en discutant tranquillement. Il connaît les raisons de mon abstinence au bout de quelques minutes et toutes les raisons de ma présence à Cannes ...