De son Maître
Datte: 17/03/2018,
Catégories:
fh,
collection,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
fgode,
fdanus,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
bougie,
fouetfesse,
piquepince,
tutu,
amourpass,
fsoumisah,
Auteur: NoirBustier, Source: Revebebe
... je suis totalement à ta merci, dans un endroit inconnu avec, quelque part, un inconnu.
Je bouge un peu, mais c’est difficile, d’autant que tu me lies à présent la taille. Je suis rivée au siège, plaquée dessus, ma liberté de mouvement est quasiment nulle. Tu remontes ma robe afin de mettre au jour mon sexe déjà humide. Je sens ton parfum tout proche.
— Aujourd’hui est un grand jour, ma belle chienne… Ou plutôt une belle nuit…
Tu remues diverses choses, je crois entendre un roulement. Tu reprends :
— J’ai pu admirer avec quelle diligence, tu avais obéis tout à l’heure. Je reconnais avoir été très impressionné, favorablement impressionné par ma belle chienne. Tu t’es conduite en parfaite esclave docile. Alors… je me suis dit que c’était peut-être aujourd’hui le bon moment…
Je sursaute : une goutte de cire vient de s’aplatir entre mes seins. Une autre la suit peu après. Tu caresses lentement mon ventre, tu frôles parfois mon pubis, je suis fébrile. Un doigt dégage l’un après l’autre mes tétons dressés que tu suces longuement. Puis tu arrêtes. Presque aussitôt, de la cire chaude tombe sur mes aréoles, le contact est crispant, presque douloureux ; le bâillon m’empêche de crier. D’autres gouttes tombent, recouvrant petit à petit mes tétons en feu. D’un coup, un déluge de flammes brûlantes dégouline sur mes seins, des rigoles coulent vers mon ventre, je me tortille, impossible de m’échapper. Soudain quelque chose de vibrant se plaque sur mon clitoris, je me cabre. ...
... Bientôt je ne sais plus distinguer le plaisir de ma chatte en folie d’avec le feu de mes seins et de mon ventre. Douleur et ravissement se mélangent, étrangement, jouissivement.
Je crie comme je peux mon plaisir, tu t’acharnes plus encore sur moi, la cire remplit mon ventre, la chose vibrante s’enfonce doucement en moi, me remplit petit à petit, une chose énorme qui m’écartèle impitoyablement.
D’un coup, la cire s’arrête, je sens tes ongles sur ma peau qui dégagent mes tétons englués. La cire résiste, étire mes pointes, m’arrachant des cris étouffés, mais elle finit par céder. Je souffle de satisfaction malgré le bâillon dans ma bouche que j’ai mordu de toutes mes forces, il y a quelques secondes. Court répit, car tu attaches à mes tétons des pinces cruelles reliées par une chaîne métallique glaciale. Plus bas, la chose s’enfonce toujours en moins, comblant le moindre espace de mon vagin dilaté.
Avec sadisme, tu tires sur la chaîne pour éprouver la résistance des pinces. Je gémis, mes sens sont troublés, la douleur que je viens d’éprouver se change en doux plaisir suave. Je ne comprends plus, je ne me comprends plus. La cire refroidit sur mon ventre, mes seins me brûlent, ma chatte est prête à exploser, je ne vois rien, je ne peux plus bouger, même plus dire un seul mot, mais j’aime…
Je sens sur moi le jet d’une huile tiède sur mon ventre, mes seins, mon pubis, un fluide avec lequel tu me masses doucement, j’en soupire d’aise. Un autre jet s’écrase près de mon cou, ...