De son Maître
Datte: 17/03/2018,
Catégories:
fh,
collection,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
fgode,
fdanus,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
bougie,
fouetfesse,
piquepince,
tutu,
amourpass,
fsoumisah,
Auteur: NoirBustier, Source: Revebebe
Voilà ce que j’ai reçu de toi, cet après-midi, sur ma boite mail… J’ai relu ce message plusieurs fois, excitée à l’idée de la suite des événements !
Je suis rentrée, je me suis préparée comme tu me l’as demandé, guettant avec anxiété le bruit de la voiture. Enfin, tu arrives, alors je me mets en position ; tu ouvres la porte, me regardes :
— Mais je vois que ma chienne est bien dressée, elle n’aboie même pas ! Tu as reconnu l’odeur de ton maître, n’est-ce pas ?
— Oui, Maître…
— Suis-moi !
Nous nous dirigeons vers la chambre, moi toujours à quatre pattes. Je te suis dans le couloir, toujours à genoux. C’est étrange, la vision que je peux avoir, comme si je redécouvrais ma propre maison. Dans la chambre, j’attends la suite, agenouillée sur le tapis en laine à grosses boucles ; ça fait du bien après le carrelage dur et froid !
Tu regardes dans ton sac, tu sors alors un collier pour chien, deux paires de menottes couleur argent, une pour les mains et visiblement une pour les chevilles. Tu fouilles encore et tu extirpes une corde. Tu commences à me lier les poignets dans le dos avec un des bracelets, puis les chevilles avec l’autre. Avec la corde, tu m’enserres la poitrine, tu la fais descendre entre mes cuisses et tu me fais ainsi une sorte de culotte très serrée.
— Tu es déjà bien excitée, je trouve, tu es toute mouillée !
Tu m’allonges doucement sur le lit, je constate que tu sors de ton sac des bougies de couleur. Tu en allumes une, tu attends un peu puis ...
... tu commences à répandre la cire sur mes jambes, tu remontes le long de mon corps en prenant soin d’éviter mon sexe, tu en répands sur mon ventre, mes seins…
La chaleur et le picotement que créent la cire sur ma peau me font frissonner à la fois de douleur et de plaisir.
Tu me retournes délicatement sur le ventre, puis tu fais couler la cire sur mon dos, sur mes fesses ; la sensation est si forte que je suis au bord de la jouissance !
Les gouttes continuent de tomber une à une sur mes fesses, le bas de mon dos. Parfois tu remontes vers mes épaules. Tu exécutes ces montées et descentes au moins quatre fois. Soudain, tu embrasses voracement mes fesses puis tu me lèches le sillon tandis que la cire chaude s’accumule dans le creux de mon dos, sur mes reins. Je me sens bien, très bien, entre la chaleur de la bougie et la caresse très osée de ta langue !
Soudain, tu écartes mes fesses, tu donnes un baiser mouillé sur ma petite entrée puis, presque brutalement, tu enfonces la bougie dans mon anus. Je me cabre, mais très rapidement une sensation d’une délicieuse étrangeté me tranquillise.
Je suis devenue un bougeoir géant. Je tourne la tête et, poussée par une certaine curiosité baroque, je regarde cette bougie plantée en moi, cette flamme qui luit sur mes fesses, cette première goutte qui descend lentement le long de la tige. Je détourne la tête, j’attends le moment où la cire viendra couler dans mon sillon… Une étrange caresse chaude entoure mon anus, la cire s’étale à ...