1. Léna (2/2)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, jeunes, copains, école, amour, Oral pénétratio, init, mélo, nostalgie, couplea3, lieuxpubl, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... avec moi. Elle a clairement vu qu’on baisait. Et je lui ai surtout montré à quel point j’aimais ça. Que tu me faisais beaucoup de bien. Elle va te voir différemment, maintenant.
    
    Elle prononça ces deux dernières phrases en reprenant un va-et-vient qui altéra une nouvelle fois son élocution. Comme tout à l’heure, avec Marie.
    
    — On aurait même dit que tu l’allumais, dis-je.
    — C’était le cas. Elle est très mignonne. Je suis sûre que ça l’a encore plus déstabilisée que la fille qui se tapait son petit Filo sous ses yeux puisse avoir envie d’elle aussi.
    
    C’est vrai que Marie était, elle aussi, très séduisante : une brune aux cheveux longs et ondulés avec de beaux yeux en amandes marron clair. Elle était un peu plus petite que Léna mais elle avait des formes plus généreuses. Certains diraient même qu’elle avait des courbes. Contrairement à Marc qui lui en faisait le reproche, je trouvais que ça lui allait bien. Très bien, même !
    
    Là où Léna avait une aura sexuelle presque animale qui avait un effet immédiat sur les parties génitales de tous les mâles du voisinage, Marie avait pour elle l’avantage du charme et de la grâce qui vous touche droit au cœur. Avec elle, on pouvait partir dans des discussions interminables et ne jamais vouloir les arrêter. Certes, elle aurait pu paraître fade comparée à la fougueuse Léna. Mais la vérité est qu’elles étaient trop différentes pour que l’on essaye même de s’adonner à un exercice de comparaison.
    
    J’aimais Marie. Pas besoin d’aller ...
    ... plus loin. J’aurais tout donné pour que ce soit elle qui fût au-dessus de moi à ce moment précis. Même avec le Petit Père au repos dans mon pantalon et non dans son ventre chaud. Quoi qu’elle en dise et malgré le fait qu’elle semblait vraiment sûre de son coup, j’étais convaincu que Léna venait d’anéantir tout espoir que cela se produise jamais.
    
    Dès le lundi matin, Marie m’évita et je ne savais que faire pour réparer la situation. Je ne pouvais pas m’excuser de notre comportement sans définitivement admettre ce que nous faisions. Je ne pouvais pas non plus lui dire que c’était elle que je voulais, que Léna n’était qu’un plan cul. Cela aurait été de toute façon très irrespectueux et réducteur. Léna était plus que ça mais il n’était pas question d’amour d’entre nous.
    
    Bref, j’essayais de rester digne et indifférent tout en rongeant mon frein dans mon coin. Je lui lançais, de temps à autre, un sourire qu’elle évitait avec brio. Même accrocher son regard était une mission impossible.
    
    De son côté, Léna était privée de sexe. Même ses fellations expertes et appuyées ne provoquaient plus vraiment d’érection. Si le cœur envoie le sang dans la verge, n’est-il pas logique de rester mou s’il est blessé ? Il faut dire que l’occasion pour elle de les pratiquer se faisaient rares tant je lui en voulais.
    
    C’est donc avec une grande surprise que je la vis, le jeudi midi, en grande conversation avec Marie. Elles étaient là, à papoter tranquillement à la sortie de mon amphi.
    
    Nous ...
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