1. Du mauvais coté


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... disait toujours que c'est mal de profiter du malheur des gens. C'est surement mal, mais c'est aussi beaucoup plus facile.
    
    Je me promène dans la ville et je raccompagne un soir un gamin au nez morveux jusqu'à une loge de concierge. La concierge est un blonde bien en chair, dans la trentaine.
    
    -Votre fils était dehors. Il avait des denrées pillées dans ses poches.
    
    Elle ouvre des yeux affolés. Elle sait ce que ça veut dire.
    
    -Pitié, monsieur l'agent, Bernard est si jeune.
    
    Je fais partir le petit vers le fond de l'appartement.
    
    -On peut peut être s'arranger.
    
    -Je n'ai pas d'argent, le père du petiot est sur le front.
    
    -Vous êtes une femme.
    
    Son regard me montre qu'elle a compris. Elle met le verrou sur la porte du fond.
    
    Elle ouvre sa blouse et relève sa combinaison. Elle a un sacré placard, bizarrement sombre. Elle pose son cul sur le bord de la table, les jambes écartées. Je lui relève les cuisses et entre sans fioriture. Elle souffle quand je tape dans le fond, mais sinon, j'ai l'impression de limer un oreiller. Je la retourne et elle crie "non" quand ma bite s'introduit entre ses fesses.
    
    Son petit trou est bien fermé, et je dois m'employer pour le forcer. Le conduit serre délicieusement ma mentule. Elle s'est mise une main devant la bouche pour étouffer ses cris., surement pour ne pas alarmer Bernard.
    
    Je regarde les toits de Paris depuis le ...
    ... toit de mon immeuble. La nuit résonne de lourds grondements. Le pas de pieds bottés retentit dans les rues vides.
    
    L'officier allemand s'approche de moi et me demande qui je suis.
    
    -Inspecteur Delbard, bonjour.
    
    Le gars a l'air surpris de rencontrer quelqu'un qui parle sa langue. Mais il me sourit. Il a l'air crevé et sale. Je lui tends un panier avec du vin blanc frais et un peu de pain et de saucisson. Il prend ma carte de policier et sort un petit carnet pour noter mon nom. Je lui tend ma carte de visite.
    
    Le coup de fil est arrivé moins d'une semaine plus tard. Je gagne les locaux de la préfecture et un fonctionnaire chauve m'informe de mon détachement auprès des nouveaux maitres de la ville.
    
    Je vais au 27 boulevard Lannes. Il s'avère que mon officier est un ponte de la SD, leur police secrète, et qu'il a apprécié mon geste spontané. Il m'invite à m'asseoir dans un fauteuil confortable et me tend un cigare. Il me propose d'intégrer la gestapo française, qui commence à naître. Je mets les formes pour refuser, d'abord parce que ces malotrus sont d'anciens truands de la race des vrais nuisibles et que je suis un policier décoré pour avoir abattu un anarchiste qui venait de tuer un banquier.
    
    Je pénètre tranquillement dans le bureau de communication de la police. Cet honorable service a pour but de faciliter les échanges avec l'occupant. Ce n'est que le début. 
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