1. Du mauvais coté


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    Le super panard. Je traîne interminablement au lit. Le ciel est bleu et lumineux au dessus de la ville quasi déserte, en ce début juin 1940, alors que la guerre fait rage au loin.
    
    Dans la rue, je note un mouvement furtif sous un porche.
    
    Elle est raccagnée dans un angle, à l'entrée d'un passage couvert.
    
    -Salut. Dis je
    
    -Bonjour. Répond elle en tremblant.
    
    Petite, mince, visage fin et cheveux châtains mi longs. Elle blêmit devant ma médaille de police. Comme j'ai écarté ma veste pour qu'elle voit mon automatique, elle n'esquisse même pas une tentative de fuite.
    
    -Ouvre ton sac.
    
    Le tutoiement est délibéré. Elle doit sentir que je tiens la foudre dans ma main.
    
    Un pain à moitié rassi, un pot de cornichon et une sorte de tranche de pâtée dont mon chien ne voudrait pas.
    
    -Le pillage est puni de mort.
    
    Elle le sait, bien sur. Elle se met à pleurer et parle en vrac, d'un petit frère et de sa mère malade qui n'a pas pu partir. Elle me supplie.
    
    La cage d'escalier est chaude et sèche. Je lui enlève sa robe d'été. Elle porte en dessous une culotte blanche toute simple et rien d'autre.
    
    Elle est à genoux, la bouche arrondie, prête à avaler ma bite. Je lui glisse mon membre et elle est prise de hauts le coeur. Heureusement, elle n'a pas mangé depuis deux jours, et c'est sans conséquences. Elle pleure sans discontinuer.
    
    Je la relève, et la tourne face au mur.
    
    Elle supplie de plus belle quand je baisse sa culotte.
    
    -Tu préfères douze balles dans la ...
    ... peau? Lui dis je.
    
    Elle baisse la tête, vaincue.
    
    Bon dieu, je sens la résistance de son hymen au coeur de son sexe vierge. Elle pleure encore plus.
    
    -Il y a un moyen.
    
    Elle se détend un instant lorsque je quitte sa petite vulve fraiche. Mais c'est un cri de pure douleur qui s'échappe de ses lèvres quand je lui poinçonne le cul. Elle gémit de détresse, ensuite, alors que son orifice secret s'accommode peu à peu de l'intrus, heureusement lubrifié de sa bave. Lorsque je ressors, un filet de foutre coule doucement sur sa cuisse.
    
    Je remonte mon pantalon, que j'avais descendu à mi cuisse.
    
    -Tu es une voleuse, Sarah Bronski. Et à présent, une petite salope. Ma petite salope. Compris?
    
    Elle me regarde sans comprendre. Je lui jette sa robe, qu'elle enfile prestement. Je la conduis jusqu'à ma voiture, garée non loin. J'ouvre le coffre et glisse un pain et un bocal de pâté dans son pauvre sac.
    
    -Les allemands sont à quelques jours d'ici, après, tout retournera à la normale. En attendant, si tu as de nouveau faim, j'habite là, au deuxième gauche. Mais tu paieras avec ton corps.
    
    Elle ne sait si elle doit me remercier ou me maudire, mais elle file.
    
    Je regarde ma ville. J'ai l'impression d'être le roi de Paris. Les rues sont vides, tout le monde s'est enfui. Pas moi. La police doit veiller à l'ordre, que le vainqueur trouve une capitale bien rangée.
    
    Le lendemain soir, on frappe à ma porte. Je suis couvert du sang d'un gars. Il faut vraiment que je perfectionne ma ...
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