Un typhon prénommé Mathilde
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
Hardcore,
Anal
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... t’accompagne quand tu t’y rends. »
Réponse :
« C’est assez rare. Pourquoi cette question ? »
Je me souviens qu’avant de répondre, Mathilde s’est assurée que Loïc était suffisamment éloigné pour ne pas l’entendre. Puis elle est revenue à moi, avec ce regard bouleversant, et elle a dit :
« Parce que, je t’accompagnerais bien. Mais il ne faudrait pas en parler à Loïc, sinon il voudra venir avec nous. »
Et là, je me suis mis à bander, car je savais exactement ce qui allait se passer. Sans aller jusqu’à prétendre savoir lire dans les yeux, je ne suis pas fou : cette fille voulait qu’on se fasse une sortie nocturne à deux, sans le dire à son mec. Et ça me convenait.
Je lui ai répondu :
« Y a-t-il un endroit en particulier qui te plairait ? »
Elle s’est mise à réfléchir, mais pas longtemps.
Elle m’a dit :
« Dans l’expo, il y a des photos prises dans un vieil hôtel, non ? »
« Oui, il se trouve en bordure d’autoroute. Tout est encore en place, mais d’ici quelques mois il sera sûrement pillé et vandalisé. Tu veux qu’on aille là-bas ? »
Elle a secoué la tête. Ses yeux brillaient.
Je me souviens avoir vidé mon verre cul-sec avant de lui dire :
« Tu fais quoi mardi soir ? »
« Rien, m’a dit Mathilde sans cesser de sourire. »
Là encore, je vais vous épargner le déroulement de cette soirée qui suivit. J’ai retrouvé Mathilde en bas de chez elle et nous avons pris l’autoroute. Je me souviens qu’elle portait un petit débardeur noir à bretelles et ...
... un pantalon noir moulant avec des bottines noires également. Une petite laine sur le bras, au cas où l’air de rafraichirait.
Nous avons discuté sur l’autoroute. De choses assez banales. De la vie, de nos centres d’intérêt, de nos références en littérature et en cinéma. Il faisait extrêmement bon ce soir-là. C’était fin juin et il faisait déjà nuit.
Je me suis garé à proximité de l’hôtel, puis nous avons franchi les grilles sensées empêcher qu’on y pénètre. Ensuite, nous avons enjambé une fenêtre aux vitres brisées et j’ai allumé ma lampe de poche. L’autoroute passait tout près et les voitures et les camions vrombissaient par intermittence. Nous étions dans une chambre décrépie. Le lit était encore en place, ainsi qu’un matelas, une table de nuit, une chaise et une peinture hideuse pendue au mur. C’était plus ou moins le cas des trente chambres de cet hôtel.
Nous sommes sortis de la pièce pour suivre un couloir et visiter d’autres chambres. Mathilde marchait devant moi, guidée par le faisceau de ma lampe. Je regardais sans cesse son cul, ainsi que les bretelles du soutif rouge qu’elle portait sous son débardeur noir.
Nous avons peu parlé, seulement lorsqu’un élément particulier s’offrait à nous dans une pièce : un nounours en peluche, des cartes à jouer éparpillées sur le sol, un verre à pied intact, des cartes postales fixées sur le mur du hall d’accueil, une paire de lunettes écrabouillées.
J’avais emmené des bières et nous avons fini par faire une halte dans ...