1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (11)


    Datte: 27/10/2019, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... commencèrent à se caresser sur les divans, tandis qu’une femme masquée faisait un très beau striptease, elle n’en fut pas étonnée !
    
    Elle n’attendait que la permission de son mari pour se joindre à un groupe de libidineux, pour donner libre cours à sa luxure. Elle sentait ses nymphes gonfler, et sa fente se répandre en liquidités délicieuses
    
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    Pourtant, lorsque Jean-Michel s’approcha d’un couple, dont la femme avait les seins nus, caressée par un troisième homme, et que son mari lui présenta comme étant le couple leflic Prejean, Jean-Raymond et sa femme Edwige, elle eut un coup au cœur ! La femme, à moitié nue, portait de nombreux bleus sur le corps... et une impression subliminale "criait" à Marie-C qu’elle ne lui était pas étrangère... Lorsque Jean-Michel les présenta avec leurs pseudonymes, Fantomas et Agrippine, Marie-C éprouva un grand malaise... se pouvait-il que ? Néanmoins, elle se laissa asseoir entre les deux, qui commencèrent à la déshabiller et à la caresser sur tout le corps, pendant que son mari observait la scène avec intérêt, avec un regard que Marie-C ne lui connaissait pas. Elle avait l’impression d’être livrée à trois créatures des enfers ! ?
    
    Pourtant quand Edwige la fit se baisser, et qu’elle se trouva face au sexe en érection de Jean-Raymond, sans hésitation elle emboucha le sexe et commença à pomper. Pendant ce temps, Edwige, qui l’avait débarrassée de sa robe, pour la laisser en porte-jarretelles et bas noirs, Marie-C n’ayant pas mis de ...
    ... string, s’était allongée sous elle et lui caressait le clitoris, tandis que sa langue agile prenait possession de sa fente.
    
    Marie-C commença à gémir sous les caresses saphiques, en même temps qu’elle suçait l’homme de fort raisonnable façon.
    
    Celui-ci lui jouit bientôt dans la bouche, et elle avala toute la semence, tandis qu’elle-même, transformée en femme fontaine, se répandait dans la bouche d’Edwige. Le commentaire de son mari la blessa énormément, sans qu’elle en comprît le fondement :
    
    — Eh bien, je ne sais pas ce que tu as fait durant ton absence, mais en tout cas, tu es devenue une sacrée petite salope !
    
    — Certes, notre Messaline sait y faire, mais n’aurais-tu pas quelqu’un à lui présenter, Jean-Michel ? Eh oui, nos épouses sont de sacrées petites salopes ! “
    
    Les paroles de Jean-Raymond étaient comme du fiel :
    
    " Certes oui, allons lui présenter notre sémillante stripteaseuse ! Marie-C voici Céline, que tu connais déjà peut-être ? “ Le ton était goguenard et doucereux.
    
    Alors la jeune femme nue, qui avait quitté son estrade après son spectacle érotique, retira son masque, et au bord de la folie, Marie-C reconnut la “Cape”, Céline, son ancienne servante... mais une Céline indemne, belle et jeune comme au premier jour, pas d’œil en moins, ni de scarifications dues aux coups de fouet, ni aucune autre trace de supplice. Céline était totalement indemne.
    
    — Mais, mais que fais-tu ici et dans cet état ?? Je t’ai connue torturée et défigurée dans ce maudit ...