Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (11)
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... éveiller la vigilance de son ennemie, qui pensait l’avoir domptée ! La foule était en furie, des cris s’élevaient des gradins :
— Oui ! Vas-y ! Fais-la jouir cette salope ! "Fist" la ! “
Docilement, écartant les cuisses toutes grandes, elle facilitait l’intromission odieuse dans son intimité. Elle gémissait et suppliait même son ennemie de la faire jouir ! Celle-ci flattée, se concentrait sur sa main qui investissait le vagin de son ennemie, perdant tout intérêt pour le combat, et désarmant sa vigilance !
Marie-C, qui jouissait à perdre haleine, releva alors le buste, et doucement approcha ses deux mains de la tête de l’autre. Ouvrant toutes grandes ses deux mains, elle frappa d’un terrible coup sec sur les deux oreilles d’Agrippine, en même temps. Le coup se répercuta sur les gradins. Tout le monde se tut ! L’adversaire vaincue s’écroula dans la boue, complètement inerte.
Elle releva son adversaire et lui arracha le string en cuir, dévoilant une belle bande de poils noirs sur le pubis. Elle amena alors sa victime, en la traînant dans la boue jusqu’au “but”, une estrade en pierre, située sous l’un des deux arbitres. Elle la souleva difficilement, puis l’ayant couchée sur le sol de pierre, elle se pencha pour récupérer un peu de boue liquide très fine, et écartant les cuisses d’Agrippine, pour dévoiler sa vulve à l’assistance, lui fit subir le même sort qu’elle avait reçu des mains de son adversaire. Mais avant, elle lui tordit les pointes des seins, pour la ...
... réveiller ; Agrippine était vaincue et accepta tout ce que lui fit subir Marie-C. Elle reçut la main de cette dernière, qui lui dilata le vagin et qui la baisa avec son poing, sous les vivats de la foule en délire, qui était restée muette jusque-là.
Agrippine ne se retint pas de gémir et de jouir, sous la masturbation brutale qui lui était infligée. Puis après le dernier cri de délivrance, Marie-C l’emmena jusqu’à une espèce de pal en pierre, de 20 centimètres de hauteur, et elle fit mettre son ennemie à quatre pattes, qui fut obligée de sucer le pal de pierre... c’était la loi, en ce bizarre endroit !
Et lui écartant les fesses, face au public en délire, elle commença à introduire ses doigts dans son trou du cul. Là encore, la femme se laissa aller à une jouissance obscène et bruyante. Quand l’orifice fut bien dilaté, Marie-C la fit redresser, et lui ordonna de s’empaler elle-même sur le gode de pierre, ce que fit Agrippine sans regimber.
Alors Marie-C embrassa goulûment et profondément la vaincue, qui accompagna sauvagement le baiser d’amazone !
Nue, souillée de boue, des bleus partout, Marie-C se retourna vers la foule en liesse, et dressant les bras vers le ciel, hurla :
— Je suis libre ! Vous en êtes tous témoins ! J’ai vaincu !”
Marie-C se réveilla dans son lit, un petit-déjeuner très appétissant sur la desserte à côté. N’y croyant pas, elle se mit sur son séant et laissa son visage être baigné par les rayons du soleil, qui filtraient au travers de la grande ...