1. La tournante a bien tourné


    Datte: 27/10/2019, Catégories: ffh, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... n’en avait aperçu un véritable en érection. Elle en avait vu sur Internet, mais celui-ci lui semble différent, plus vivant, plus réel, à la fois amical et pourtant terriblement redoutable.
    
    La bouche de Véronique l’absorbe, l’avale. La tête de cette dernière monte et descend, reste parfois immobile, seules les déformations des joues soulignent le travail de la langue. Elle le ressort puis redescend, le nez touchant presque le pubis masculin.
    
    Elle se redresse enfin, le contemple satisfaite et dit :
    
    — Je crois que maintenant il est prêt, bien graissé, tu vas voir, tu ne le sentiras pas passer.
    
    À ces paroles, Hervé vient s’allonger à côté de la jeune fille, sa femme se plaçant à hauteur de leurs hanches. Elle saisit le sexe de son mari et le place délicatement au centre de la fente. Le gland appuie doucement entre les lèvres.
    
    — Détends-toi bien, laisse-nous faire.
    
    L’homme se cale bien au-dessus d’elle. La tige appuie à petits coups, la main féminine la guide, un doigt taquinant le clitoris.
    
    Sabine sent progresser à petits coups le soc qui l’ouvre. Pourtant pas de douleur, un écartèlement, une gêne, une impression inconnue. Un moment après, elle sent contre son pubis, celui d’Hervé. « Il est tout entier en moi, ça y est, je suis femme, il m’a dépucelée. » Elle est heureuse, sourit, ouvre les yeux et voit le visage attentif de son partenaire.
    
    Ce bonheur évident le décide à se mettre en mouvement. Avec précautions, il ramone ce conduit. Le plaisir de Sabine ...
    ... est purement cérébral, car le frottement est irritant, un peu douloureux. Pourtant, peu à peu le mal disparaît, cela devient assez agréable, elle qui craignait tant de souffrir.Et même, après tout, cela devient bon, bon, je me sens bien, c’est merveilleux. Oh, qu’il accélère, ça monte, vite. Elle soulève le bassin pour aller à sa rencontre. Hervé a compris et se déchaîne. Le plaisir éclate soudain, fabuleux, jamais elle n’avait ressenti cela, c’est meilleur que tout. Son partenaire s’est retiré, toujours tendu.
    
    Sabine savoure ce bonheur, ouvre les yeux. Devant elle, deux visages amicaux l’examinent, souriants, heureux du bonheur qu’ils viennent de lui procurer. L’un après l’autre, ils l’embrassent amicalement, puis se joignent tous deux en un baiser sensuel.
    
    Déjà ils l’ont oubliée, se bécotent, se câlinent. Sabine s’écarte. À côté d’elle, son amie prend le dessus, écarte ses cuisses au-dessus du visage masculin, de son côté elle nettoie le sexe encore dur. Elle l’aiguise bien, puis jugeant l’outil prêt à être utilisé, elle se retourne, se met à quatre pattes. Hervé a compris, il vient derrière et s’enfonce dans un sillon ruisselant. Véronique est à genoux, les bras repliés, la tête affalée dans le coussin. Les mains d’Hervé ont saisi les hanches et guident ainsi la cadence. C’est elle qui soudain rugit, exprimant son bonheur, mais lui n’a toujours pas joui. Ressortant de l’antre chaud, il remonte légèrement et pointe son arme entre les fesses.
    
    — Doucement, je t’en ...