1. La tournante a bien tourné


    Datte: 27/10/2019, Catégories: ffh, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... d’eux.
    
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    Elle est bien, dans son bain, ce n’était qu’un cauchemar. Ouvrant les yeux, elle réalise qu’elle n’est pas chez elle. Elle tente de se relever, retombe dans l’eau, pousse un grand cri.
    
    Heureusement deux bras la retiennent, lui évitant de se blesser.
    
    — Reste calme, ce n’est rien, tu es en sûreté, dans une semaine tout aura disparu. Ils ne t’ont pas violée, tu en auras été pour une belle peur. Nous allons te ramener chez toi, tu habites quelle barre ?
    
    Elle regarde la femme, c’est sûrement eux qui l’ont sauvée. Mais elle est incapable de sortir un mot, de leur dire merci. La femme la redresse, la rince, saisissant un peignoir de bain, la sèche. N’obtenant pas de réponse, voyant son état de choc, elle appelle :
    
    — Hervé, viens m’aider. Il vaut mieux la garder ici.
    
    L’homme entre, la prend dans ses bras, l’emporte dans un chambre, la couche, sort. Quelques instants plus tard, la femme revient avec un verre d’eau où bouillonne un comprimé.
    
    — Tiens, bois, ça te fera du bien.
    
    Docilement elle avale, se recouche et sombre dans le néant.
    
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    C’est l’envie de pisser qui l’a réveillée. Elle ouvre les yeux, revoit soudain la scène, tremble. Elle est nue, dans une maison inconnue.
    
    Elle sort dans le couloir, trouve le WC, se soulage, tire la chasse. En ouvrant la porte, devant elle, la femme, la trentaine, belle, grande, au moins un mètre soixante-quinze, soixante-cinq kilos, mais sympathique et souriante. Elle lui tend un ...
    ... peignoir de bain, l’aide à l’enfiler.
    
    — Ça va mieux, tu veux manger ?
    — Non, je n’ai pas faim.
    — Faim ou pas, il faut te nourrir.
    
    Lui entourant les épaules, elle l’entraîne vers l’escalier, puis dans la cuisine.
    
    — Tu veux un petit déjeuner, un déjeuner ou un goûter ?
    
    Une pendule marque quatre heures. Elle a dormi… longtemps.
    
    — Du chocolat au lait si vous avez, c’est ce que je prends d’habitude en me levant.
    — D’accord, mais tu me tutoies. Moi, c’est Véronique, et toi ?
    — Sabine. Et le monsieur qui m’a sauvée, il est parti ?
    — Hervé, oui, il travaille. Tu ne nous a pas dit où tu habitais, tes parents doivent se faire du souci.
    — Oh, mes parents, ils s’en foutent de moi.
    
    Après le repas, toutes deux sont allées dans la salle de séjour. Installées côte à côte dans le canapé, Véronique l’a prise contre elle, l’a calmée, dorlotée. Sabine est restée silencieuse, détendue dans les bras de sa nouvelle amie. Au bout d’un moment, elle s’est mise à parler, s’est longuement épanchée, sa compagne l’écoutant en gardant le silence. À sept heures, la porte a claqué, Hervé est entré, posant un baiser sur le front de sa femme.
    
    — Ça va, tu es un peu remise ? demande-t-il à son invitée.
    — Oui, je voulais vous dire merci de m’avoir tiré de leurs pattes. Sans vous, ils me…
    — Tu avais droit à une tournante.
    
    Ensemble, ils ont dîné, les femmes parlant peu, Hervé n’ouvrant la bouche que pour demander le pain ou l’eau.
    
    À la fin du repas, il est allé ouvrir la porte du ...
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