Mal de mer
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
ff,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
bateau,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... et tout en bas le porte-jarretelles.
Religieusement, il dégage une épaule puis l’autre, et Léa, les bras tendus le long du corps, laisse descendre son rempart.
Elle est belle. Droite, hiératique devant ces deux hommes qui la découvrent ainsi. C’est fou comme cet ensemble lui va bien. Elle le met en valeur. Il la transcende en soulignant ses formes.
Elle regarde devant elle un instant ; je pense que c’est par timidité ou par honte de se montrer ainsi devant des inconnus. Mais lorsque le silence s’attarde, elle sourit légèrement. Ils sont bouche bée.
Enfin l’homme réagit. Il avance un peu. Ses mains se posent sur les hanches de ma femme. Elle ne tressaille pas. Elle le regarde, c’est tout. Il effleure la dentelle du porte-jarretelles, suit le trait d’un ruban qui le joint au bas. Remonte. Rencontre l’élastique-ficelle qui tourne autour de la hanche. L’élastique qui retient le triangle qui cache la féminité. Délicatement, de chaque côté de la hanche, deux doigts s’en emparent. Un instant, ils en testent la souplesse puis le tirent vers le sol.
Il me semble entendre un soupir de Léa, et pourtant ce n’est toujours pas une caresse, si ce n’est celle des yeux et celle de l’élastique qui doit frotter sur la peau pendant sa descente. Une descente qui entraîne avec elle le haut du triangle de soie qui se replie et tire avec lui le reste du string.
Voilà, la chatte est visible. Vénus est là, dune bombée, tranchée nette avec des parois étrangement ciselées comme un ...
... vent dans le désert sculpte une rose des sables. Et au milieu, parfaite, une fente déjà humide, je n’en doute pas, qui attire le regard.
En descendant le string le long des jambes gainées de soie, l’homme se penche. Est-ce un effet de mon imagination si, lorsque Léa soulève un pied après l’autre afin que le gramme de dentelle la libère, elle avance vers l’homme ? Son visage est naturellement tout près. Il suffit d’un rien. Et ce rien, c’est un tout.
Il plonge. Son visage fait maintenant partie de l’ensemble. Je le comprends. Qui résisterait à une telle merveille ? La bouche, les lèvres, la langue, toutes veulent goûter au cadeau qui se libère.
Léa gémit. Déjà ? Il lui suffit de si peu ?
Mais non : derrière elle, un autre homme est présent. Un homme qui se colle contre ses reins et qui, d’une pichenette, fait jaillir les deux seins de leur coque de dentelle. Ils sont beaux ainsi, soutenus par le soutien-gorge qui mérite amplement son nom. Deux lobes que la gravité ignore. Deux globes dont les tétons sont des provocations. Brett en a conscience, et déjà ses paumes jouent avec les pointes. Les paumes appellent les doigts. Les doigts tordent et maltraitent, pour le plus grand bonheur de ma femme.
Elle est debout. Debout mais cambrée, poussant son ventre en avant afin qu’un homme la lutine. Cambrée du bas mais arquée vers Brett afin que ses seins soient torturés comme elle l’aime tant.
Au moins, ma longue attente aura permis de me familiariser avec les caméras du ...