1. TABLE DE SAPIN 8


    Datte: 26/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... sommes mis tout de suite à la cueillette. Alors qu’elle s’est occupée des fruits à porter de ses mains, j’ai grimpé pour ma part dans l’arbre. Durant tout le temps qu’a duré la cueillette, je me suis autorisé à admirer sa poitrine. Je me suis dis qu’il était impossible qu’elle ne se rende pas compte de la vision qu’elle m’offrait.
    
    - Bon je crois que j’en es assez là. Me fit-elle.
    
    Je n’étais pas mécontent de m’arrêter là. La cueillette sa va un temps !
    
    - Je te propose de prendre un verre ? Lui proposais-je, une fois poser mes pieds sur le plancher des vaches.
    
    - Ici ? Chez tes beaux-parents ? Répondit-elle.
    
    - Oui… Où veux-tu ailleurs. On n’est pas bien ici ?
    
    - Oui, bien sûr.
    
    - Tu préfères à l’intérieur où sur la terrasse ?
    
    - J’n’aime pas les mouches, me fit-elle.
    
    - Alors allons à l’intérieur.
    
    À peine franchis la porte de l’entrée, je me suis occupé du service.
    
    - Qu’il fait chaud ! Dit-elle.
    
    - C’est toi qui a voulu quand ce mette à l’intérieur.
    
    - Oui, et je persiste, les mouches. Par contre cela te dérange que je me m’êtes à mon aise ?
    
    - Fais donc. Répondais-je en quittant la pièce pour aller chercher une bouteille de cidre dans la cave. À mon retour je l’ai trouvé près de la cheminée en soutien-gorge.
    
    - Et bien, en voilà une tenue.
    
    - Cela te dérange ? Je peux remettre ma veste.
    
    - Non, non, au contraire, j‘adore. Et que dire des deux petits buissons que tu as sous les bras.
    
    - Tu me fais honte, là ! Pour une coiffeuse, ça la ...
    ... fou mal !
    
    - Une espèce de jachère féminine, non ?
    
    - Je me suis entendu dire que tu aimais les poils. C’est vrai ou c’est faux ?
    
    - Oui parfaitement, ton informatrice t‘as bien renseigner. Je devine de qui il s‘agit ! Tu ne vas pas me dire que c’est pour cela que tu ne t’ai pas raser, dernièrement. Rassure-moi ?
    
    - Vas savoir ! Peut-être que oui, peut-être que non… fit-elle en riant bêtement.
    
    Je me suis alors approché, à la toucher.
    
    - J’en meurs d’envie d’y plonger mon nez. Fis-je en lui désignant du doigt son aisselle. Je peux ?
    
    - A ta guise ?
    
    Et j’ai posé mon nez au-dessus de son aisselle buissonneux. Humant bruyamment ce qui s’en dégagé. Elle a patienté que je me redresse pour enfin me questionner :
    
    - Alors ? Conclusion ? Me fit-elle.
    
    - Qu’un mot…
    
    - Oui ! Lequel ?
    
    - Excitant. Le pied…
    
    Elle m’a regardé, d’un regard gourmand.
    
    - Tu sais. Me chuchota-t-elle d’une voix si basse que j’avais l’impression d’avoir la tête dans du coton. Là aussi, j‘ai du poil… ! M’indiquant de l’index le centre de son corps.
    
    J’ai cru dans un premier temps, qu’elle plaisantait.
    
    - On parle bien de la même chose, là ?
    
    - Bien sûr ! Enfin je crois. Répondit-elle.
    
    - De ta chatte…
    
    - Alors nous parlons de la même chose.
    
    - M’invites-tu là à faire connaissance avec elle ?
    
    - Pourquoi pas, si le cœur d’en dit ! Fit-elle. D’un ton qui ne souffrait pas que je refuse.
    
    Elle a agrippé le bas de sa jupe et la rabattue au-dessus de ses reins. Battant des ...