Miroir déformant (2)
Datte: 25/10/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... ...
— Dis-moi (sa queue est très dure entre mes fesses, ses doigts exigeants dans ma chatte, mes hanches perdues entre le désir d’onduler d’envie et la nécessité de ne pas se soumettre à une intolérable contrainte). Quels trous ?
— Nous ne voulons pas qu’ils remplissent ma chatte (mouvement plus lent et plus doux de son doigt en moi, je retiens difficilement un gémissement). Ni mon cul (il m’enfonce un second doigt, toujours en douceur, tandis que son pouce tourne très lentement sur mon clitoris. Je halète et mords mes lèvres). Ni ma bouche (sa main gauche quitte sa queue, se pose délicatement sur ma tête, qu’elle tourne ; il embrasse légèrement mon front, mes lèvres, déposant de courts baisers sur le pourtour de ma bouche).
— Non. Nous ne voulons pas cela. Nous voulons que tu sois en sécurité (nouveaux baisers, qui remontent vers mon front). Mon corps te protège, tu ne risques rien (il soulève ses hanches et fait glisser sa queue entre le haut de mes cuisses). Je suis là (sa queue coulisse lentement, de haut en bas, entre mes jambes que les siennes maintiennent serrées), sens ma présence, ma protection...
- ...
— Tu la sens ?
- ...
— Est-ce que tu la sens ? Réponds-moi.
— Oui, je la sens.
— Tu la sens bien ? (Il halète un peu tandis que le mouvement masturbatoire de sa queue accélère légèrement. Mon sexe mouillé coule sur son gland lorsqu’il descend à son niveau)
— Oui, je la sens bien, je la sens vraiment bien.
— Tu aimes que je te ...
... protège ?
— Oui.
— Dis-le, entièrement.
— J’aime que tu me protèges. J’aime ta protection, j’aime la sentir.
— Tu n’as pas l’air très rassurée malgré tout. Peut-être as-tu besoin de davantage de protection (son mouvement reste suspendu, sa queue presque sortie de mes jambes, son gland désormais lubrifié restant seul pressé entre mes cuisses).
— Oui.
— Dis-le.
— S’il te plaît, protège-moi davantage, encore plus de protection... C’est rassurant...
— Qu’est que tu veux que je protège, en plus de tes jambes ? (sa queue, entièrement sortie, frotte avec régularité mes cuisses fermées).
— J’ai peur, tellement peur pour mon trou, s’il te plaît protège mon trou, ma chatte...
— Tu le veux vraiment ?
En dessous, ils avaient relevé la fille. Elle était debout, jambes tendues et toujours écartées. Un gars la pénétrait par-derrière et courbait son dos vers l’avant. Un autre lui remplissait la bouche de sa queue. Celui qui pénétrait sa chatte enfonçait insouciamment une partie de sa main dans son cul et riait. La douce soumise, cette fois, semblait vouloir échapper à ce traitement, à cette invasion totale et brutale. Elle tentait de bouger les bras pour repousser les hanches de celui qui pénétrait sa chatte, mais les autres maintenaient ses mains, de même que ses chevilles. De sa bouche tringlée émanaient de vagues cris perdus dans des bruits de salive, que personne n’écoutait. Ils la baisaient, voilà tout. Et ce n’était pas fini.
Oui. S’il te plaît. Protège tous ...