Miroir déformant (2)
Datte: 25/10/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... mes doigts. J’hésitais à me dégager, mais la crainte de faire du bruit m’empêchait tout mouvement déterminé. Je finis par lui abandonner ma main, et m’abandonner à la sienne.
En dessous, la fille gémissait sous la troisième bite de la soirée, dominée par celui qui la pénétrait en l’insultant et lui plantant un doigt dans le cul. Elle était maintenue plaquée sur la cantine métallique par les autres, bras ballants, le corps entier secoué par la violence de la pénétration.
Ne sachant plus sur quoi focaliser mon esprit, mon plaisir contraint ou la vision de cette soumission absolue, je ne prêtai pas attention au lent déplacement de mon compagnon de voyeurisme.
Je réalisai brusquement qu’il était passé par-dessus mes jambes et que, jupe relevée et culotte baissée, je sentais désormais sa queue frotter contre mes fesses alors que ses deux mains poursuivaient leur masturbation, en moi et sur lui.
Je tentai de me dégager d’un brusque mouvement de hanches et d’épaules. Je réussis presque à le faire basculer, mais il se jeta de tout son poids sur moi, me plaquant sur le béton – mes seins se meurtrirent à ce contact brutal et mon buste, bloqué, semblait réclamer à la fois liberté et davantage de poids, ce poids dominateur, qui me rivait au sol, auquel mon corps était forcé d’obéir, entièrement.
— Chhhhhhhhhhhh... voyons... nous ne voulons pas qu’ils nous voient, n’est-ce pas ? Surtout pas qu’ils voient ce joli petit trou (mouvement de crochet de son doigt en moi) ...
... presque vide... Ils n’ont pas l’air bien futés, mais ils savent par instinct que la nature a horreur du vide, et adore être remplie, n’est-ce pas... Ils viendraient le remplir... Ils viendraient te remplir, tous, chacun leur tour, puis recommenceraient encore, et rempliraient tous les trous possibles, consciencieusement... Nous ne voulons pas cela, n’est-ce pas ?
- ...
— Je n’ai pas entendu... Nous ne voulons pas cela, n’est-ce pas ?
La fille en dessous ne gémissait presque plus : ils l’avaient retournée en levrette, toujours la même queue dans la chatte – ou le cul, impossible de savoir maintenant –, mais une autre dans la bouche, produisant d’inconfortables bruits d’humidité dure. Les autres présents riaient, encourageaient les deux baiseurs, se masturbaient violemment, faisaient un tel bruit que nous pouvions chuchoter sans crainte d’être entendus.
— N’est-ce pas ?
- ... Non.
— Non quoi ?
— Non, nous ne voulons pas cela.
— Nous ne voulons pas quoi ?
Un cri bref, mais intense parvint du rez-de-chaussée : malgré la queue qui la bâillonnait et lui baisait la bouche, on l’entendit. Ils étaient maintenant trois sur elle, mais à ce que je pouvais voir... je comprenais le cri. Le troisième était venu coller sa queue contre celle qui baisait déjà sa bouche, écartelant sans doute ses lèvres déjà meurtries. Celui qui s’activait dans sa chatte accentua ses mouvements avec brutalité.
— Nous ne voulons pas qu’ils remplissent mes trous.
— Quels trous ?
- ...