Expérience SM ... (3) - Histoires de Sexe

Expérience SM ... (3)

... avec ses yeux enflammés. Elle arborait fièrement un air de défis, ce que je reconnu comme l’appréhension de la douleur à venir. Je vérifiai tout de même, sans qu’elle ne puisse me voir, sa main droite afin de lui laisser une opportunité de tout stopper. Peine perdue, elle me laissait poursuivre sa séance.

— Pour ce dernier coup soumise, je frapperai plus fort encore qu’à l’instant. Je le ferrais sur ton bas-ventre. Ta punition sera terminée.

Elle ferma alors les yeux pour attendre le coup. Si je voulais que tu ne regarde pas, soumise, je t’aurais bandé les yeux ! »

Une gifle lui cingla ainsi le visage, pour la rappeler à mes directives. Je la vis souffler pour ne pas en geindre. Elle m’a regardé lever la cravache de soixante centimètres environs au dessus de son ventre. Je la fis alors claquer sur elle, à la lisière de son pubis. Un mince filet de sang coulait de sa nouvelle plaie. Elle soufflait plus fort encore, des larmes naissantes au coin de ses yeux. Je lui ai enlevé son bâillon.

— Oui, je sais, c’est douloureux ! C’est une punition, pas une récompense !

— - « Oui maître. Pardon maître. »

— Bien, c’est mieux. A partir de maintenant, oublie ta volonté de crescendo, je suis le maître et c’est le sort qui choisira de tes supplices. Tu en seras d’ailleurs la main. Dans une casquette, j’ai mis plusieurs papiers. Chacun de ces papiers est une nouvelle épreuve. Si nécessaire, tu tireras sur un dé le nombre de ses répétitions. Si je suis content de toi, tu ...

... seras peut être récompensée.

— - « Bien maître. Je suis impatiente maître.»

Avant de poursuivre, je lui nettoyais ses plaies à l’aide d’un coton, comme entre chaque épreuve.

Elle tira alors un papier de la casquette et me le tendis.

— Tien, lis le moi toi-même, soumise.

— - « Bien maître. »

Les yeux à la fois effrayés et alléchés par ce qu’elle lisait, elle me regardait, et m’annonça :

— - « Pince coupante là où le maître en a envie, maître. »

— Entendu soumise, tu vas tirer le nombre de fois où cette pince se refermera sur toi.

— - « Le dé annonce cinq, maître. »

Je la vis déglutir péniblement, et consentir. Pour éviter que des gémissements ne soient trop audibles, je changeais de bâillon pour une boule en plastique.

A la vue de l’objet, elle se dandinait sur le lit, visiblement empreinte de peur. Toujours attentif à sa main, je glissais alors la pointe fermée de la pince sur corps, de son ventre à ses seins, puis ses lèvres intimes. Je voyais ses yeux me fixer. Ils ne quittaient pas ma main tenant l’objet. Je remontais pour approcher de ses seins, lui effleurant les mamelons; je la voyais trembler, sans jamais me donner le message. La pince ouverte, je lui caressais la poitrine, la faisant sursauter à son contact. Elle me regardait toujours, autant inquiète que pleine de désirs pour ce qui devait suivre. M’attardant autour de son téton gauche, je le griffai tendrement, lui donnant une dernière occasion de dire stop, ce qu’elle ne fit pas. Les ...