Expérience SM ... (3) - Histoires de Sexe

Expérience SM ... (3)

Bonjour à vous , voici le chapitre 3 de mon histoire

— Tu voulais avoir mal pour avoir du plaisir. Voyons si la douleur que je te réserve te plaira ! Ressors de la couette, fais le lit, ajoute cette alaise imperméable et allonge toi au dessus, bras et jambes écartés au maximum et ne bouge plus. Fait vite soumise.

En quelques secondes, cela fut fait. Je passai deux cordes de mon sac sous le lit, j’en attachai une à ses poignets par ses extrémités, et l’autre à ses chevilles. Mon esclave était alors parfaitement immobilisée et muette. Pour qu’elle puisse regarder ce qu’il se passait sur son corps, je lui mis deux coussins sous la tête, je vis à ses yeux que cela ne l’enchantait guère; cela l’effrayait plutôt. Après un simple regard que je voulus noir, je l’ai vue se résigner et accepter ce que je lui faisais. Sa soumission, comme elle le souhaitait, était totale. Pour commencer, j’enduis son dos d’huile de massage à effet chauffant, pour lui sensibiliser la peau au possible.

— Ne souris pas comme ça, dans quelques minutes, avec cet effet, tes sensations seront plus fortes. Tu ressentiras mieux mes sévices. Cela devrait te plaire, soumise ! Ton premier supplice, si on peut appeler cela ainsi, sera de subir l’effleurement d’une plume sur ton corps. Voyons l’effet avec l’huile.

Je la vis alors ouvrir grand les yeux. Elle était déjà tés sensible aux chatouilles en temps normal. L’huile lui fit appréhender. Je sortais une longue plume d’oie de mon sac. Après quelques ...

... caresses sur son visage, elle se détendait lentement. J’avais entendu dire que les chatouillis sont souvent une lourde épreuve, et je l’ai vite vérifié. Je passais la plume blanche sur son ventre. Il se soulevait pour s’écraser très vite, comme des convulsions concentrées sur cette partie de son corps. Je la voyais gesticuler dans ses liens, pour échapper à son supplice; ses rires n’étaient pas loin. Je la remontai sur ses seins. Elle devint forte sous son entrave, se retenant de rire, comme pour me défier de poursuivre plus ardemment. La plume glissait sur chaque sein, lui effleurant la peau, lui agaçant les tétons rendus fières par le froid qu’elle avait enduré. Afin de poursuivre cette séance, je lui mis un foulard sur les yeux, accentuant encore son terrible plaisir. Elle pouvait alors se concentrer sur la plume, se laisser absorber uniquement par ses sensations, et subir mon travail.

Elle senti ensuite mon jouet atteindre ses lèvres intimes, entamant un mouvement réflexe de recule, comme une décharge électrique. Je jouais ici quelques instants, tournant autour de son antre, sans jamais l’atteindre. Sa frustration s’ajoutait ainsi à son épreuve. Je passais alors tendrement le bout de mes doigts sur une de ses aisselles, ce qui la surprit dans son élan intime. De cet instrument très connu de sa chaire, je lui taquinais la peau rendue sensible par l’huile. Ces deux contacts simultanés et très doux à la fois eurent raison de sa retenue. Elle se mit à rire sans entrave. Je ...