1. Sparte 4


    Datte: 25/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Hâakon, Source: Hds

    ... lance. Elle voulut faire quelque chose mais je l'en empêchait. J'avais mon idée. J'invitais les marins à se mettre autour de nous. Oui pour exactement ce que vous pensez, mais pas de suite.
    
    Je mis la prêtresse dos à moi, en face des marches. J’approchais ma queue ô combien sensible. D'abord je glissais sur son dos, laissant un peu de semence, puis la naissance de ses reins et enfin son petit cul ferme. Elle se crispa mais n’émit pas une protestation quand lentement je la sodomisai. Quel délice. Je posais mes mains sur ses hanches, regardais chacun des marins et j'entamai le grand mouvement de bassin qui régissait tout.
    
    Je l'ai prise ainsi des dizaines de minutes, mon précédent orgasme ayant été si intense que mon endurance s'en trouvait décuplée. La jeune femme poussait un flot continu de gémissements en s'appuyant tant bien que mal contre les marches. Pas un seul moment ma verge ne quitta son petit délice. Souvent je ressortais ma verge à la limite, ne laissant que le gland pour mieux replonger ensuite. J'étais en sueur comme sur un champ de bataille mais pas un seul moment je ne faiblis. Ni au premier orgasme ma compagne de jeu ni aux autres qui suivirent. Son fessier avait beau se resserrer et me faire crier je tins bon assez longtemps pour écrire une nouvelle chanson à ma gloire.
    
    Ma verge ne tenait que par ma volonté de fer. Quitter son cul faillit me faire jouir, cette caresse sur mon gland...Ohhh. Je la retournais, elle était belle. Nue, couverte de sueur. Elle ...
    ... rayonnait de plaisir et de sensualité. Ma semence jaillit comme une source, arrosant sa poitrine, maculant son cou, trempant son ventre et ses épaules. Elle m'adressa un sourire d'une telle béatitude. Je grimpais les marches pour profiter de la brise marine.
    
    Derrière moi les marins, nus, sexe en main se mirent presque contre elle. Son sourire devint encore plus étincelant, ses yeux devinrent des soleils. Les cris des marins jaillirent de la cale comme le plus beau des cris qu'un homme pouvait pousser au fur et à mesure qu'ils se vidèrent sur la prêtresse qui, bras écartées, acceptait avec joie leur cadeau.
    
    La journée suivante fut occupé à rejoindre une île ou nous pourrions nous reposer et inspecter le bateau. Nous les grecs échouons nos vaisseaux la nuit et après plusieurs jours en pleine mer nous pouvions enfin nous sentir chez nous. J'étais désormais l'un des leurs. Je les avais traités comme des égaux, comme des hommes forts et viril et je m'en voyais récompensé. La prêtresse dormit toute la journée dans un hamac, toujours couverte du nectars des hommes. Après cette nuit de folie et de débauche elle était épuisée.
    
    L'île était fort accueillante. Une large rivière qui remontait jusqu'à une grande colline, du gibier bienvenue pour nous remettre d’aplomb. J'étais partis chasser un dernier gibier quand une de mes sandales se rompit. Je n'avais jamais pris à la légère les signes du destin aussi fus je troublé. Je pensais un moment que la guerre couvait à Sparte en mon ...
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