1. Sparte 4


    Datte: 25/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Hâakon, Source: Hds

    ... passer à la suite de la représentation. La jeune femme grimpa d'elle même sur moi, s'empalant avec une lenteur délibérée autant pour montrer mon vit s'enfoncer en elle que pour s'imprégner lentement de ce plaisir qui la comblait. Je lui fis l'amour lentement, exposant mes muscles saillants. Nous poussions des légers soupirs, libérés par l'inutilité de la discrétion désormais. Mais cela ne me suffisait pas aussi je marchais pour la plaquer contre une poutre verticale. Une fois bien qu'elle fut bien calée je me déchaînais, enchaînant les coups de reins avec la régularité du ressac. Elle mit ses mains en hauteur pour s'accrocher, libérant les derniers recoins cachés de ses mamelons. Je m'empressais de les prendre en bouche, Ils étaient dur, gonflés. C'était une poitrine faite pour combler les hommes, un monument à la volupté.
    
    La sueur commençait à nous recouvrir, nous faisant luire. Poséidon s'était comme rendu sur ce navire pour coucher avec l'une de ses nombreuses amantes. Et le trident revenait sans cesse, rostre de chair à la tête gonflée de sang et de plaisir. Je sentis mon échine trembler, se contracter alors que j'approchais de la jouissance. La prêtresse était abandonnée dans les affres des plaisirs charnels, son regard à demi clot, sa langue qui passait sur ses lèvres. Avec ses jambes elle me força à aller plus vite et plus profond.
    
    Liés ainsi nous nous sommes mutuellement aidé pour gravir les marches vers le paroxysme. Nos corps ruisselant étaient en feu, nos ...
    ... cris bestial emplissaient la cale. Nos bassins se cognaient encore encore et encore. Ma verge était dure à m'en faire mal, prête à expulser ma semence comme rarement. Et son antre, oh son antre ! Une fournaise, serré mais tellement glissant. Ses parois internes tremblaient aux frottements de mon vit. Je donnai une ultime rafale de coups de reins et nous avons explosé. L'orgasme pur. Un grand silence d'ou ne jaillissait que nos cris étouffé. Nos corps tétanisés, incapable du moindre mouvement. Pas une seule pensée. Juste la sensation sublime. Et le retour.
    
    Ma verge libérait des torrents de semences, j'inondais la prêtresse comme aucun homme ne l'avait fait avant moi. Ce flot ne semblait pas se tarir et quand il le fut ma verge bondissait et se contractait encore pour prolonger l'orgasme. C'en était trop pour la caverne de la mycénienne. Son vagin se contractait de manière erratique, prolongeant nos orgasmes mutuels. Une partie de mon sperme s'écoula au sol quand je me retirai d'elle.
    
    Nous nous sommes ensuite assis sur les marches, cuisses écartées pour notre public. Les marins riaient, nous congratulaient. Leurs verges dressées à la main ils ne se faisaient pas encore jouir. Le prêtresse leur demanda de se mener à la jouissance, à son tour d'avoir un spectacle. Mais je ne l'entendais pas de cette oreille.
    
    Pendant que nous discutions tous,mon membre viril se remettait petit à petit. Je prit la main de la jeune femme et celle ci s'appliqua à m'astiquer vigoureusement la ...
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