Ma belle-soeur paie sa dette - Première partie - Histoires de Sexe

Ma belle-soeur paie sa dette - Première partie

... acceptait de se donner à moi avec un plaisir intentionnel.

J’ai continué à faire mon ouvrage tout en continuant à penser à ce qui venait de se passer et je me demandais si j’avais rêvé ou si elle était vraiment sérieuse dans ses propos. Lorsque j’eus complètement fini la peinture, j’ai tout serré puis je l’ai appelée pour qu’elle vienne voir le résultat.

— C’est super-beau, Robert. Cela va faire du bien à mon moral. Merci beaucoup.

En disant cela, elle vient vers moi, se place face à moi et m’embrasse passionnément. Elle me roule une pelle torride avec sa langue et me serre très fort contre elle. Notre baiser a duré deux bonnes minutes. Lorsque ses lèvres ont quitté les miennes pour que l’on puisse reprendre notre souffle, je lui ai demandé :

— Étais-tu sérieuse aujourd’hui sur le prix que tu étais prête à me payer ?
— Oui, très sérieuse… si tu le veux encore…
— OH OUI ! Je ne demande pas mieux. Il y a si longtemps que je te désire. C’est dommage qu’il soit bientôt l’heure de souper et que ton mari soit à la veille d’arriver sinon je t’aurais demandé un acompte tout de suite.
— Pas de problème car il m’a appelé tantôt pour me dire qu’il soupera à la brasserie car il participe à un tournoi de fer et il arrivera tard ce soir.
— Intéressant…

Je l’attire contre moi et je l’embrasse avec fougue. Gina répond très bien à mon baiser. Je glisse ma main dans son dos, que je caresse en ayant toujours un petit doute dans mon esprit. Elle chasse de moi cette pensée ...

... en m’enlaçant de ses deux bras et en me frottant le dos à son tour de ses deux mains. N’étant pas satisfaite, elle retire ma chemise de mon pantalon et glisse ses mains en-dessous pour reprendre ses caresses. Un immense frisson me traverse tout le corps. À mon tour, je glisse mes mains sous son t-shirt et lui rends les mêmes caresses. Sa brassière étant dans mon chemin, je lui détache rapidement et elle se laisse faire. Elle me regarde avec son air de chatte en chaleur et me dit :

— Tu as la peau si douce, Robert.

Elle me caresse maintenant partout dans le dos et sur la poitrine. Ses mains baladeuses m’étourdissent de bonheur. À mon tour je commence à lui caresser tout le haut du corps. Je caresse son ventre tout chaud puis je remonte lentement. Je soulève les bonnets de sa brassière au-dessus de ses mignons petits seins que j’empoigne sans tarder. Elle laisse échapper un petit gémissement de satisfaction. Je prends ses tétines entre mes index et mes pouces et je les roule doucement.

— OH! OUIIIIII… C’est bon Roberrrtttt… continuueeee…

J’obéis à son désir durant plusieurs minutes. Je lui caresse les seins l’un après l’autre, les deux ensemble, je les pétris tendrement, les malaxe, lui roule à nouveau les tétines entre mes doigts. Je sens Gina fondre sous mes caresses. Je lui enlève son t-shirt et sa brassière que je jette par terre, la repousse légèrement pour mieux admirer sa poitrine, je lui pogne (2) les deux seins à pleines mains et les pétris puis je lui dis ...