1. Ma belle-soeur paie sa dette - Première partie


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, intermast, Oral pénétratio, québec, Auteur: Père Vert, Source: Revebebe

    J’étais marié depuis une dizaine d’années avec Diane lorsque ces faits se sont produits. Notre couple vivotait et était tombé dans la routine plate. Ma belle-sœur Gina était une toute petite femme bien ordinaire mais qui avait un certain charme, et qui m’avait toujours plu depuis que je la connaissais, alors même qu’elle n’était qu’une adolescente. Elle était maintenant mariée à un gars qui n’avait vraisemblablement pas ce qu’il voulait avec elle, car il était toujours rendu à un bar où je savais qu’il lorgnait très fort sur la serveuse qu’il était incapable de séduire, mais avec qui il préférait être plutôt qu’avec Gina.
    
    Je savais que je n’étais pas indifférent à Gina car j’avais réussi à la frencher (1) alors qu’elle était venue garder mon enfant au début de notre mariage. Elle avait accepté mon baiser torride et j’avais même pu lui caresser un sein au travers de sa blouse avant qu’elle ne me repousse, gênée par la situation. Depuis ce temps, elle n’avait jamais rien fait pour m’attiser mais je sentais qu’il y avait quelque chose entre nous deux.
    
    Cet été-là, elle avait décidé de repeindre le salon de son loyer. Son mari ne l’aidait aucunement et préférait la laisser faire seule et s’en aller au bar à la place. Gina me demanda de l’aider car il y avait des corrections à faire sur les murs pour les égaliser et boucher quelques trous. J’ai été travaillé quatre soirs dans la semaine puis je lui ai dit que je finirais le tout le samedi.
    
    –––oooOooo–––
    
    Je suis chez ...
    ... elle très tôt le samedi, et vers midi Gina vient me voir dans le salon pour savoir où j’en étais rendu.
    
    — Tu es très avancé.
    — Oui, tout va bien. On va pouvoir finir le tout pour ce soir.
    — Tu sais, Robert, je n’y serais jamais arrivé si tu ne m’avais pas aidée. Je te remercie.
    — Cela me fait plaisir, voyons.
    — Tu me diras combien je te dois.
    
    En farce, je lui réponds :
    
    — Tu es à moi le même nombre d’heures que j’ai travaillé pour toi, c’est-à-dire… euh… si je finis à 6 heures ce soir comme prévu, cela fera au total 28 heures.
    
    Je la regarde et lui souris en disant cela, m’attendant à une riposte négative de sa part, ce qui aurait été très normal. Je l’avais sentie très triste toute la semaine, sachant très bien que l’indifférence de son mari la peinait beaucoup. Mais à ma grande surprise, elle s’approche de moi, me regarde droit dans les yeux et me dit :
    
    — Je suis d’accord.
    
    Et elle me donne un long baiser à bouche ouverte, fouillant de sa langue chaude et humide ma bouche qui ne demandait pas mieux. Lorsqu’elle eût fini, elle me regarde à nouveau et avec ses yeux tristes et sensuels à la fois, elle me dit :
    
    — C’était juste un petit acompte pour te montrer à quel point j’apprécie ce que tu fais pour moi et à quel point je t’apprécie, TOI.
    
    Elle s’en retourne dans la cuisine comme si rien ne s’était passé. Je n’en revenais pas. J’étais complètement estomaqué de sa réponse et de son geste. Elle qui avait toujours gardé ses distances avec moi, voilà qu’elle ...
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