Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2) - Histoires de Sexe

Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2)

... allait falloir que je me fasse au fait qu’il parle de moi au féminin, tant que cela était entre nous en fin de compte, cela ne me gênait pas.

Il m’a gardé contre lui, m’a invité à serrer mes jambes autour de ses hanches, puis il nous a emmenés dans sa chambre sur son lit. Nous étions prêts à nous coucher et nous endormir dans le lit conjugal si je puis dire, pour la première fois de ma vie, j’allais me coucher avec un homme mais en plus avec le rôle de la femme. C’est dans ma tenue féminine que je me suis couché et avec ce que je venais de vivre, je peux vous garantir que je n’ai pas été bien long à m’endormir avec Claude qui s’était collé dans mon dos et dont je sentais le sexe calé contre mes fesses. J’étais maintenant assis sur ses jambes mais couché, et sa main gauche était bloquée contrairement à la droite qui était venue se bloquer entre mes jambes. J’ai rapidement tourné de l’œil pour n’émerger que le lendemain matin vers neuf heures, mon mâle était déjà levé. Je suis resté encore un peu allongé dans le lit avec mes idées qui planaient dans ma tête.

Quand je me suis levé, la seule chose à laquelle j’ai pensé, c’était d’aller aux toilettes car la liqueur de mon étalon était en train de vouloir quitter mes entrailles. Tout naturellement je me suis assis et j’ai baissé ma culotte comme l’aurait fait une femme, j’ai uriné et en même temps j’ai relâché les muscles de mon sphincter qui ont laissé tomber la semence au fond de la cuvette. Sophie et Muriel faisaient la ...

... même chose lorsque nous avions des rapports sexuels. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour essayer de me refaire une beauté, je n’avais pas vraiment un visage très féminin mais mon corps ainsi travesti pouvait tromper pas mal de monde. En activant le robinet, je trahissais ma présence dans la salle de bain, quelques instants après Claude arrivait derrière moi en me saisissant par la taille et venant me picorer le cou. Personne ne peut résister à de tels petits bisous en des endroits aussi sensibles. Je savais que maintenant le poppers n’avait plus d’effet sur moi, que seul le comportement de Claude me faisait succomber.

Je me suis laissé ainsi courtiser de longues minutes avant qu’il ne me prenne par la main pour que nous partions prendre le petit-déj. Arrivée dans la cuisine quelle ne fut pas ma surprise de constater que Muriel était là, à me regarder émerveillée et interloquée en même temps. Dans ma tête c’était la catastrophe moi qui était son étalon voilà qu’elle me voyait habillé en femme et offert au voisin. Ma maîtresse est venue m’embrasser avec gourmandise, alors que Claude était collé contre moi et je sentais toujours son sexe dans la raie de mes fesses. J’étais complètement estomaqué de constater que cela n’avait pas l’air de gêner plus que ça Muriel de me voir ainsi vêtu. Je ne savais plus quoi faire, je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus que penser; je ne faisais que subir les caresses de l’une et les attouchements de l’autre. Qu’allait-il se ...