Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2)
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... Cela était quand même sympa d’inverser les rôles et de se laisser diriger par un homme qui me désirait. Maintenant j’avais un bras au niveau de sa nuque et l’autre autour de sa taille, je lui rendais le baiser et j’y mettais autant de passion que lui.
Le rôle de femme qu’il était en train de m’imposer n’était finalement pas si déplaisant, dans son regard je pouvais voir autre chose qu’un homme dominant. Avec l’effet du poppers, je ne réalisais pas ce que j’étais en train de faire en m’habillant ainsi. Je n’ose imaginer ce que penserait Muriel, ma maîtresse, si elle me voyait dans une telle tenue, elle qui est libérée au niveau sexuel. Le plus beau, c’est que dans cette tenue, avec les caresses de Claude, mon érection était revenue à toute vitesse; cet homme me faisait bander. Maintenant il avait cessé son baiser et il me faisait marcher car, il voulait que je prenne de l’assurance perché sur mes escarpins. Il m’a fait faire des allers-retours dans le sous-sol de sa maison et quand il a vu que j’étais vraiment docile, il m’a fait monter à l’étage, je me sentais vraiment sa femme. Cela m’a donné l’occasion de visiter cette maison et nous avons fini la visite dans la cuisine. Comme il l’aurait fait avec une femme, il m’a fait asseoir sur le plan de travail, j’avais une vue magnifique mon sexe bien raide et il m’a fait écarter les jambes.
J’étais parfaitement conscient de ce qui allait m’arriver car j’adorais cette position avec ma femme et surtout ma maîtresse. En même ...
... temps j’étais en train de me souvenir que Claude avait pris des photos de moi avec ma maîtresse dans cette position dans ma cuisine mais les rôles étaient inversés. Non content de me laisser faire, je participais même à la position en accrochant mes jambes autour de sa taille. Claude avait écarté ma culotte et je sentais maintenant son sexe chaud à l’entrée de mon petit trou. En plus de cela, il me tenait par la taille et c’est moi qui étais venu chercher le baiser, j’étais demandeur tout autant que lui. Je l’étais à tel point, que c’est moi, avec mes pieds calés contre ses fesses qui l’ai attiré contre moi pour sentir son sexe me pénétrer. Je ne sais pas si le poppers y était pour beaucoup, mais il y avait un gros potentiel de salope en moi. Maintenant mon geôlier était en train de me pénétrer pour mon plus grand plaisir, la salope qui sommeillait en moi désirait se faire prendre par ce médecin à la retraite.
— Tu rencontres ma belle, tout à l’heure tu rouspétais et maintenant tu es demandeuse.
— On n’oublie jamais sa première sodomie.
— Vu les circonstances dans lesquelles tu vas perdre ta virginité, tu vas longtemps te souvenir de moi.
En fait il me parlait pendant les moments où il ne m’embrassait pas et en même temps en train de se faufiler dans les entrailles. Moi qui avais peur qu’il me fasse du mal, je ne sais pas comment je devais le prendre, mais pour l’instant il me faisait beaucoup de bien et j’en voulais encore plus. Quand j’ai senti ses couilles ...