1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon Maître (6/13)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... la clef du placard.
    
    Si dans une demi-heure, quand j’amènerai le tube, tu es là, c’est que tu auras définitivement accepté d’être ma soumise.
    
    Ce choix sera irréversible tout au long de ta vie.
    
    Le tube, j’ignore ce que c’est, je verrai bien, je me lave la figure pour être présentable, gardant dans ma bouche la semence d’Albert mon Maître reçue avec délice, même si je regrette qu’il ne m’ait pas fait la moindre félicitation pour ma fellation.
    
    Je comprends qu’avec lui, les sévices oui, les félicitations se cantonneront à un morceau de jambon cru lorsque ce sera son bon désir.
    
    Dans l’armoire, je récupère mon sac à dos, à l’intérieur, j’ai quelques effets que j’ai amenés espérant faire une soirée restaurant avec Pierre : robe courte en cuir, chemisier en coton blanc, chaussures à talons.
    
    J’oublie volontairement le soutient gorge 95 C ainsi que ma petite culotte, nul doute qu’Albert sera sensible à avoir pensé à ce détail.
    
    Bien sûr je n’oublie pas mes bas auto fixant évitant le porte jarretelle, ces bas sur leur partie haute sont en dentelles, je sais que lorsque je m’assoie près de Pierre, il aime voir à la lisière ma peau.
    
    Je me regarde dans la psyché l’effet que cet ensemble va faire sur Albert, je suis satisfaite, ma mini en cuir, souligne mon cul bien rebondi et ferme, mes bas gainant parfaitement mes mollets bien galbés.
    
    Satisfaite, je sors attendant mon Maître, c’est là que je vois arriver la camionnette de Louis la Brocante, du moins sa sœur ...
    ... jumelle.
    
    • Monte, quand il a démarré inutile de chercher des soucis, roulons, je t’emmène à Chambéry, merde, tu es bandante, fais voir, très bien ta poitrine est libre, tes gros seins bien gonflés me font envie. Salope, tu descends en ville, le cul nu, merde, tu m’as fait caler, descend.
    
    Je m’attends à ce qu’il veuille que je pousse son engin certainement centenaire, mais c’est tout autre chose qu’il désire, il ouvre le ventail et la porte arrière, il y a des cagots.
    
    • Monte, va sur l’avant, il y a un matelas, soulève simplement ta jupe et écarte tes cuisses.
    
    J’ai le temps de voir ma gourmandise, putain, il va encore me prendre, j’ai bien fait de laisser partir Pierre seul.
    
    Si Albert est toujours crade, surtout sa casquette qui depuis que je le connais est visée sur sa tête, que dire de ce matelas qui a dû être mis à l’intérieur quand la camionnette était neuve et est toujours là.
    
    La verge entre dans mon vagin, je m’accroche à ses reins, voulant le sentir le plus loin en moi, je pense qu’il est au plus loin qu’il n’ait été, ma chatte semble s’adapter à son gros gourdin, mes cris de plaisirs résonnent, faisant vibrer les tôles.
    
    Il doit être impossible que ses couilles, même si elles sont énormes, crachent autant de sperme, pourtant je dégouline après qu’il ait déchargé.
    
    • Dépêche, on est en retard, je connais mon tube, il ne redémarrera pas, on va se servir de la pente, pousse, quand je te le dirai, tu sauteras sur le siège à mon côté.
    
    C’est à ce moment, ...