1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon Maître (6/13)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
    
    Je voulais attraper le petit lapinou fuyard, pour ce faire, je me place au sol pour voir sous la cage, il est là, je lui tends un pissenlit, il avance, je l’attrape.
    
    C’est à ce moment qu’Albert me prend la chatte, profitant de ma position cul relevé.
    
    J’en relâche le lapinou qui en profite pour se sauver une nouvelle fois.
    
    • Albert, tu me prends comme un dieu, comment fais-tu pour avoir autant de réserve, j’ai loupé mon lapinou, mais j’y ai gagné au change.
    
    Les coups de bite redoublent, il est toujours prêt et il bande comme jamais aucun homme ne l’a fait pour moi. Ne parlons pas de Pierre, mon homme, qui comme un con, court en montagne sur sa corniche en direction de Chambéry.
    
    Sa queue redouble, une nouvelle fois, je vais monter au septième ciel, pourquoi septième, vingtième, millième ?
    
    Il me remplit, ses flèches frappant mon utérus à jets continus.
    
    Ce sont loin d’être des cris qui sortent de ma gorge, ce sont carrément des hurlements de louve en chaleur.
    
    • Va bosser, cet après-midi, je t’emmène à Chambéry chez une amie.
    
    Je mets encore quelques secondes à me remettre sur mes jambes, mes parties intimes sont légèrement enflammées, il faut supporter le sexe d’Albert, je pense qu’il a dû avoir d'autres maîtresses, ont-elles accepté ce qui ressemble à un obsédé sexuel, mais que c’est bon ?
    
    Les lapinous sont soignés avec l’aval de mon ...
    ... voisin celui qui à partir de maintenant je considère comme mon Maître.
    
    C'est drôle les mots que l’on peut employer « aval », si j’en prends plein la chatte et l’anus, ma bouche attend toujours qu’il m’offre son sperme.
    
    À ce jour, c’est toujours lui qui a pris l’initiative, normal pour une soumise, à quoi je dois m’attendre si c’est moi qui lui saute au paf.
    
    Même si j’accepte les sévices qu’il me donne quand je suis une méchante fille, même si je suis une femme dans toutes ses contradictions.
    
    Je me dirige vers le poulailler, le coq est toujours d’aussi mauvaise composition, je le vois mal m’attaquer, je vois les ergots à l’arrière de ses pattes.
    
    J’ai vu à la télé des combats de coqs, c’était sanglant, ça pourrait être sanglant.
    
    C’est drôle, les poules ont pondu dans des zones sombres. Les œufs sont regroupés en trois secteurs, je les amène sur la table faisant très attention de ne pas en casser.
    
    Devant moi, c’est sympa, six œufs bruns, les autres légèrement foncés et le reste blanc.
    
    Les six œufs bruns sont plus sales que les autres, il y a une sorte de grand lavabo à droite de la grange, je les lave, ils sont tout propres, je les place dans une seule boîte, Albert pourra les vendre plus cher, ils sont plus gros, 4 boîtes de foncés et 2 de blancs.
    
    Il me reste quatre œufs, pas assez pour faire une boîte, je les laisse sur un plateau à œufs.
    
    J’ignore tous les combien de temps il les ramasse, il y a déjà 12 boîtes d’œufs pleines sur la table, je range les ...
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