1. Excédée, elle me saute dessus et s'empale


    Datte: 19/10/2019, Catégories: fh, inconnu, nympho, fépilée, train, fdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... chope vivement l’escargot et l’agite avec dédain. J’implore ma biologie de ne pas prolonger l’humiliation. Enfin un peu de sang afflue, je commence à y remplir la main. Je ne regarde que ses yeux de biche, je fixe ce puits de douceur et d’intelligence. Je vois pas que son autre main pénètre son intimité.
    
    Ça y est, je bande. Je déborde franchement de sa main. Y aura pas de rab de branlade, aussitôt elle m’amène au lit. Elle s’allonge. Son dos glisse sur des draps de satin, parfumés. Elle tend les bras vers moi. Presque attendri, j’approche mon visage.
    
    Ses doigts se referment sur mes cheveux, elle me tire durement à elle. Je suis maintenant à quatre pattes au-dessus d’elle, de son ventre, de ses cuisses écartées. Je me contorsionne pour éviter tout contact, toujours convaincu qu’il n’y a qu’un affreux malentendu et que si par malheur j’y frôlais un genou, je prendrais une gifle.
    
    Ses doigts ne me relâchent pas et avec violence, elle plaque ma tête contre son sexe. Elle a en même temps projeté le bassin à ma rencontre.
    
    Comme de bien entendu, je découvre un terrain totalement imberbé. Une vraie patinoire, pas un branchage à se raccrocher dans les virages. Sa crème de peau vient jusqu’à inonder son intime animalité.
    
    — Lèche ! Oh oui, lèche !
    
    Le contact est fait, alors ma langue pointe avec retenue son très saint nid. Je lichotte son clitoris comme une glace très froide. Toujours fuyant, j’ai posé mes mains sur le matelas, au-dessus de chacune de ses cuisses, les ...
    ... coudes très hauts dans une digne imitation du crapaud. Elle saisit mes mains pour les poser chacune sur un de ses incroyables seins. Je perçois ces rondeurs soyeuses qui débordent.
    
    Je poursuis mon micro clapotis sur le haut de sa fente. Je picore léger. Aquarelliste, je retouche un imaginaire et aérien paysage.
    
    — Mais, fais la grosse, ta langue ! Grosse !
    
    Et de m’écraser encore avec force le visage contre son pubis. Je m’applique, je gouache à pleine langue, à pleine gueule. Elle écarte grand, grand les cuisses. Ses mains empoignent mes cheveux au-dessus du front, elle me pousse plus bas. Sous ma bouche, je sens sa fente se creuser, se complexifier. Je découvre la naissance des lèvres, l’entrée du vagin. Je la goûte. Je lape son nectar un peu âpre, délicieux.
    
    Ça dure : elle, elle souffle et moi je lape.
    
    — Rentre-la ! Mets-moi ta langue !
    
    J’osais pas sans invitation. Ma langue se ressaisit. Elle se fait vicieuse. Elle se ramasse, gagne en épaisseur et en vigueur. Elle était grosse langue plate et bête, elle devient tête chercheuse. Je repousse une grosse lèvre, roule sur l’autre. Je caresse les petites, les force, m’engouffre.
    
    — Oh oui, t’arrête pas ! Envoie encore ! Plus loin !
    
    Ses ongles me font mal alors qu’elle me presse encore. Elle ouvre tout grand les cuisses et moi les mâchoires, jusqu’à m’en faire mal. Je sors aussi loin que je peux ma langue. Le goût se fait plus prononcé, là-bas.
    
    Tout à coup un silence, elle ne respire plus. Subitement elle ...
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