Excédée, elle me saute dessus et s'empale
Datte: 19/10/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
nympho,
fépilée,
train,
fdomine,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe
... trottine juste.
Soudain une porte. On rentre. Un couloir, un patio, une porte encore. Je m’arrête. Que c’est grand, que c’est beau ! C’est au moins une maison de ministre. Des vases, des tapis, des tableaux. Et puis un espace, un volume ! …
Tiens ! Les orangs-outans ne sont plus collés à moi. L’un des deux a collé une main contre le bas de son dos, et de l’autre m’indique un couloir. Le corps légèrement cassé en deux, il m’affiche un sourire trouble qui me fait frissonner. Le second gorille se tient en arrière, devant la porte d’entrée. M’est avis qu’il faudrait qu’on discute tous les deux avant que je puisse sortir par là.
J’ai encore pas eu le temps d’avoir peur avec tout ça. Entre cette femme, splendide de trop, et à présent cette maison luxuriante à l’excès, je cogite à l’envers. Je demeure là, indécis.
Le sourire du majordome se crispe, il se force un peu et une canine apparaît.
Mêêê ! C’est qu’il me boufferait ? Je m’empresse de prendre le corridor indiqué. J’avance. Large couloir, sombre, moquette épaisse. Au fond, une porte à double battant, richement décorée, entrouverte.
— Entre ! Viens là !
Je pousse la porte. Tu me croiras pas de ce que je vois là. Une chambre, aussi somptueuse qu’on peut s’imaginer. Au centre, un lit. Gigantesque. Et dessus, l’infinie faite femme, nue. Totalement nue ! Elle me tombe dans l’œil d’un coup, sans prévenir.
Elle n’est pas passée par un lent et savant déballage. Non elle m’envoie tout d’un coup : sa peau ...
... incroyablement lisse, ses cuisses déliées, ses seins royaux et lourds et, trônant au-dessus, son visage si doux et envoûtant. J’estomaque et me recule, défensif. Je me cogne contre Golgoth, occupé derrière moi à fermer la porte.
Je me retrouve donc enfermé. Seul avec elle. Terrorisé comme il se doit. Qu’il est loin mon petit métro !
— Viens !
Elle ne parle plus tout à fait comme tout à l’heure. Elle souffle ses mots, sa voix tremble un peu.
— Mais viens allez !
Elle m’intime. Ça ne la fait plus du tout sourire ma paralysie. Hé ! Je fais ce que je peux ! C’est-à-dire rien.
D’un coup elle saute à bas du lit, elle marche vers moi. Quelle vision, non mais quelle vision !
Elle est debout à moins d’un mètre devant moi. Je me sens petit garçon, je veux rentrer chez moi ! Elle réfléchit pas bien longtemps, elle a vite jugé mes piètres capacités d’initiative. Alors elle me déshabille. Un rien agressive, je la vois me démunir de mes remparts.
Nu à mon tour, je me sens tout petit, tout sale. Dans cette grande chambre et face à cette femme pleine de superbe, je me vois en creux, mon petit torse, mes petits poils, ma petite…
Ah tiens, parlons-en ! T’aurais bien cru que dans pareille scène, j’aurais dû me tendre à en avoir mal ? Que j’aurais dû l’avoir grosse et gonflée comme jamais de ma vie ? Couilles rabattues, roulis de bassin à l’appui pour animer ma perche, hop par ici la bonne soupe ? J’aimerais t’y voir…
Aphrodite regarde le désastre sans émotion. Elle me ...