Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (29) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (29)

... misérable de postière, elle n’a jamais vu ça de sa vie, et moi non plus d’ailleurs.

— Eric, dit Laétitia, je vous la confie. Préparez-la et emmenez-la au salon.

— Bien Madame Laétitia.

Il prend BB par le bras et monte rapidement les escaliers. On les suit. On est accueilli par une charmante jeune femme aux cheveux d’un roux intense coiffés en chignon. Elle est derrière un pupitre.

— Heureuse de nous revoir, Madame Van-Rumbek. (le nom de son défunt époux)

— J’ai réservé.

— Oui j’ai vu, le petit salon. Veuillez suivre Virginie.

Une jeune fille nous sourit et nous emmène dans un dédale de couloir et de salle. On arrive devant une double porte. Elle ouvre. Ça ne pue plus, ça empeste le pognon. Une table est dressée. L’argenterie et le cristal ont été sortis. Virginie nous conduit vers un minibar où nous attend un barman, ou plutôt un chippendale. Il nous souhaite la bienvenue.

Après nous avoir servis, Virginie et lui disparaissent.

— Alors ?

— Ça doit coûter une blinde.

— T’inquiète, tout est payé... Tu me rembourseras en dix fois sans frais. Hahahahaha.

— Tu as vu comment je suis mal fagoté ?

— Quelqu’un t’a fait un reproche. Pour eux, tu es riche, immensément riche et c’est tout ce qui compte à leurs yeux.

Mélissa fait le ...

... tour de la pièce sans oser toucher quoi que ce soit. Laétitia s’affale sur une méridienne, ressemblant au sofa utilisé dans la Rome antique. Elle m’invite à prendre place sur le deuxième. Elle enlève ses chaussures. La lourde porte s’ouvre et voilà BB qui fait son entrée. Elle est accoutrée d’une tenue de soubrette en cuir, laissant libres ses seins qui sont maintenus par une espèce de push-up. Ravissant. Elle a le tablier réglementaire, ainsi que le sert-tête et porte un joli petit collier en cuir ras du cou. Elle s’avance vers nous et donne une badine à Laétitia.

— Non, donne-la à Monsieur.

Je la prends. Quand elle repart pour nous resservir, elle montre son joli fessier. Elle est nue. Je sens monter une érection incontrôlable. Laétitia me sourit. Mél qui nous a rejoints s’assoit à mes pieds. Sa minijupe remonte sur ses grosses fesses. Je n’en peux plus. Je bande comme un fou, de plus, Laétitia s’attaque à un savant massage de ma bite avec son pied.

Sauvé par Virginie.

— Le repas peut-être servi, Madame. On se lève et s’installe tous les trois. Moi, un ange, elles de chaque côté, deux diables.

On est servi iniquement par BB, qui se démène comme un chef. Elle récupère les plateaux par un passe-plat. Personne ne nous dérange, sauf pour le dessert.