1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (29)


    Datte: 18/10/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... soit avec Laétitia, soit avec moi et Mélissa. BB semble apprécier sa condition de soumise et de faire le ménage, nue. Accompagnées d’Aïcha, de Mélissa et parfois de Laétitia, elles partent en courses.
    
    Laétitia m’a confié son carnet d’adresses. Je le lui ai rendu, disant que si elle connaissait deux ou trois clients capables de se faire "torturer" dans notre club, ils seront les bienvenus. Ce fut bientôt le cas, une vingtaine de ses "ex" sont devenus accros et dépensent sans compter.
    
    Ce soir, j’ai invité mes trois complices au restaurant. On est jeudi soir. BB n’ayant pas voulu venir, elle bosse demain matin. C’est Laétitia, elle connaît mieux la région que moi qui a choisi le restaurant. On devait s’habiller sans chichi. Je crois que c’est loupé. Avec mon short, mon tee-shirt et mes savates, je suis ridicule.
    
    Commençons par Aïcha qui est la première à être prête. Elle nous attend dans l’entrée, habillée d’un très joli costume et la casquette sous le bras. Elle sera donc notre chauffeur. Arrive ensuite Laétitia. Elle est sublime dans sa robe noire à paillettes. Son décolleté est profond, son dos nu vertigineux. Il lui arrive juste au-dessus de son somptueux sillon fessier. Elle a des chaussures à talon aiguille. On dirait des échasses. Arrive enfin ma dulcinée. Elle a choisi une minijupe blanche à paillettes lui moulant parfaitement les fesses et un chemisier largement ouvert sur son énorme poitrine.
    
    — Bon, je crois que je vais aller me changer, je me sens ...
    ... ridicule.
    
    — Non, surtout pas. Tu es magnifique. Ce soir, c’est toi le roi. Aïcha...
    
    La petite magrébine nous ouvre la porte sur une voiture magnifique. Une magnifique Mercedes limousine. Jamais vu une Merco aussi longue.
    
    — Piouf... La classe.
    
    — Elle était à mon mari. Je l’ai fait sortir du garage il y a quatre jours pour que notre chauffeur puisse suivre la formation à la conduite d’un tel engin. C’est plus digne de notre standing, plus classe et plus pratique.
    
    On entre tous les trois. On se croirait dans un jet privé. Je m’installe sur la banquette, au milieu, dans le sens de la marche, quand arrive en courant et essoufflée notre BB. Elle reprend son souffle.
    
    — J’ai posé un RTT... Je peux venir, mais je crois que je vais faire tache.
    
    — Monte, pauvre gourde, j’ai des projets pour toi, lui dit Laétitia.
    
    Une fois tous à bord, la voiture s’ébranle à une allure de Sénateur. Elle se débouille bien la petite Kabyle. Sa conduite est douce et prudente. Derrière les vitres teintées, je vois les gens qui nous regardent passer avec envie pour certain, avec dédain pour d’autres.
    
    On arrive dans un grand parc ombragé par d’immenses palmiers. Aïcha stoppe la voiture devant un escalier digne du festival de cannes. Un homme habillé en queue-de-pie nous ouvre la porte. Laétitia sort la première, suivie de Mélissa et moi. On est subjugué par la beauté de l’endroit. Ça pue le luxe est le pognon. BB sort tout intimidé. C’est sûr qu’avec sa pension de réversion et son salaire ...