1. Des vacances inoubliables en Ardèch


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica

    ... C'étaient le fermier qui nous avait accueillis et un autre homme bien plus vieux et bien plus gros, sans doute son père. L'un dit « Tiens y'a la chochotte qui se réveille » et l'autre continua « Alors on supporte pas la chaleur? ». Ils riaient fort.
    
    Je me levai hardiment. « Qu'est-ce que vous faites!? » dis-je en bousculant le plus vieux. Il m'assena un coup de poing dans le ventre. J'en tombai à la renverse sur le sol. J'avais le souffle coupé. Les salauds, ils avaient profité de mon moment de faiblesse pour soumettre mon épouse. Je me relevai en criant et cette fois c'est le plus jeune qui me frappa, me laissant pratiquement sonné dans canapé.
    
    « Ferme la bouche, imbécile, je veux pas t'entendre crier... On va rien faire de mal à ta femme »
    
    « On va même plutôt lui faire du bien » dit le vieil obese en riant tandis que ma femme le regardait en sanglotant.
    
    Le plus jeune baissa sa salopette. Il ne portait rien en dessous, il était complètement à poil devant nous. Il avait une grosse bite. Aussi grosse que celle des pornos que j'avais l'habitude de regarder à la sauvette. Je ne pensais pas que cela existait dans la vraie vie. Elle pendait jusqu'à mi-cuisse. Elle avait un peu la forme d'une bouteille de coca-cola : boursouflée et large sur la longueur tandis que son prépuce charnu s'apparentait à un goulot.
    
    Son père aussi laissa tomber son pantalon. Sa queue ressemblait à celle de son fils, mais sous la peau abondait de grosses veines dilatées. Ses couilles par ...
    ... contres paraissaient beaucoup plus gonflées. Vieux, obèses, empestant la sueur, il ne devait pas avoir souvent l'occasion de les vider.
    
    Aucun des deux n'était velu. Seuls quelques poils frisés blonds ou blancs voilaient leur pubis.
    
    Ils empoignèrent leur membre imposant et l'écrasèrent sur le visage de ma femme. « Tiens, suce » A tour de rôle ils enfonçaient leur gland entre les lèvres de Lucile. Le vieux lui pétrissait les seins d'une main potelée. C'était un spectacle impressionnant de voir ces deux membres grossir dans la bouche de ma femme résignée. Ces deux Priapes ventripotents ne ressemblaient à rien de ce que j'avais vu sur internet. A la fois d'un aspect repoussant et d'une vigueur étourdissante.
    
    Au bout de quelques minutes, ils déplacèrent mon épouse et l'allongèrent sur la table. Le plus jeune lui enleva la culotte et s'approchât de moi toujours en érection. J'eu un geste de recul. « Tiens » dit-il en m'écrasant la culotte humide sur le visage « Regarde comme elle est trempée. Ça va nous faciliter le travail »
    
    Lucile était sur le dos, le sexe à la merci de ces malandrins. Le fils se mis debout entre ses jambes en appuya son gland cramoisi contre la vulve de mon épouse « Nooon, ça ne va jamais rentrer » supplia-t'elle. Le père, pour la museler, lui enfonça sa bite dans la bouche. Elle s'étouffa. Il ressorti sa bite toute visqueuse de salive et continua à faire quelque vas et viens.
    
    Le fils riait en me regardant « Tu vas voir comme elle va se régaler ...
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