1. Des vacances inoubliables en Ardèch


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica

    Résumé : Apres une avarie de moteur, ma femme et moi nous réfugions dans une ferme. Profitant que je fasse une hypotension, les deux fermiers se montrent très hospitaliers avec ma femme, sous mon regard.
    
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    Cette histoire véridique se passe il y a quelques années quand Lucile (ma femme) et moi sommes partis en vacances d'été en Ardèche.
    
    Cela faisait bientôt 5 heures que nous roulions dans notre petite rover pleine à craquer. Une table pliable, une tente, un kit de cuisine, des kayaks gonflables ; nous avions eu beaucoup de mal à faire entrer ce matériel volumineux dans ce coffre si étroit. Il était une heure de l'après-midi. Nous étions partis tôt de Perpignan et il ne nous restait plus qu'une demi-heure avant d'arriver au camping de Burzet. Trempes de sueur nous avions hâtes d'arriver pour nous doucher. Le soleil tapait fort, mais le parc national était magnifique. Nous ne regrettions pas les kilomètres faits dans ce fourneau sur roue.
    
    Brusquement, la voiture cala dans une monté. J'essayai de la redémarrer en vain. Je vérifiai l'essence mais ne détectai aucun problème de cote là... la complication venait sans doute d'un surchauffage du moteur. Lucile essaya d'appeler l'assurance, mais comme toujours dans ces moments-là, il n'y avait pas de signal.
    
    Elle me proposa : « J'ai vu une ferme, quelques kilomètres en ...
    ... arrière, nous pourrions y aller »
    
    Nous partîmes à pied sous une canicule écrasante. Le soleil tapait fort, je sentais un coup de soleil me venir sur la nuque. J'étais fatigué et la tête me faisait mal. Nous marchions depuis une bonne heure quand nous arrivâmes à la ferme. Un homme d'environ 45 ou 50 ans nous ouvrit. « Qu'est-ce que vous voulez » dit-il en nous dévisageant.
    
    Je lui répondis « Bonjour mon brave, notre voiture est tombée en panne, auriez-vous l'amabilité de bien vouloir nous laisser utiliser votre téléphone pour appeler de l'aide? »
    
    Il jeta un regard langoureux sur ma femme et sourit bizarrement en disant « La ligne est coupé mais mon père va bientôt revenir, il pourra vous remorquer à Aubenas avec son tracteur » Il ouvrit la porte un peu plus grand «Passez prendre un café en attendant ». Heureux de pouvoir enfin m'assoir j'acceptai son invitation sans hésiter.
    
    C'était un gros bonhomme un peu plus grand que moi, il était habillé d'une salopette verte. Il ne portait pas de tricot sous ses bretelles et son torse luisait de sueur. Il nous servis le café dans de vieilles tasses. Le mien était très chaud mais ne voulant pas l'offenser, je le bu d'une traite.
    
    Je regardais Lucile. Elle a commença à devenir floue, ma tension chuta brutalement et je tombai sur le côté.
    
    Quand je me réveillai, j'étais allongé dans un canapé. Ma femme était en face de moi à genoux. Ecore un peu étourdis, je me rendis compte que deux hommes la maintenaient dans cette position. ...
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