1. Dans un petit sous-bois


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fh, voisins, handicap, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral Auteur: Tosecra, Source: Revebebe

    ... de caisse dans les parages.
    
    Je la vois hésiter. Soudain elle passe la marche arrière et se met à reculer lentement sur le petit chemin, dans ma direction. Quand elle arrive à ma hauteur, la voici qui baisse la vitre :
    
    — Alors, comme ça, on matte… Tu t’es bien rincé l’œil ?
    
    Elle ne semble pas fâchée. Je remarque qu’elle a pris soin de remettre son tee-shirt.
    
    — On ne peut pas être tranquille dans ces sous-bois, ajoute-t-elle en rigolant.
    
    Sur ce, elle coupe le moteur et ouvre sa portière. Elle descend péniblement de sa voiture. De la voir ainsi handicapée, cela fait mal au cœur. Elle n’a pas pris la peine de remettre son pantalon et exhibe sa foune luxuriante en toute simplicité.
    
    — Et si nous continuions ce que nous avons commencé ? propose-t-elle, en me lançant un clin d’œil complice… Mais à une condition, c’est que cette fois, je puisse voir moi aussi.
    
    Elle me précède dans le petit sous-bois. Ses fesses sont larges et accueillantes. Comme elle n’avance pas vite, je profite du spectacle pendant tout le trajet. Je me remets à bander. Elle rejoint l’endroit où elle se caressait et s’assoit de suite, épuisée par tant d’effort. Sans préambule, elle retire son tee-shirt.
    
    — Et si tu me faisais un petit strip-tease ? Je veux moi aussi te voir tout nu. Il n’y a aucune raison que tu sois le seul à te rincer l’œil.
    
    J’obtempère avec difficulté. Je ne suis pas trop à l’aise dans ce déshabillage. Elle n’en perd pas une miette et se caresse du bout des doigts en ...
    ... me regardant faire avec ma maladresse.
    
    — Humm, pas mal du tout, annonce-t-elle, tandis que je libère mon sexe déjà dressé…
    
    Elle attend patiemment que je me mette tout nu. Je dois dire que je suis plutôt gêné, je n’ai pas trop l’habitude qu’on me regarde ainsi.
    
    — Mais, dis-moi, tu n’étais pas en train de te branler ?
    — Si.
    — Et bien, vas-y, j’aimerais bien voir comment tu fais.
    
    Je prends ma bite dans la main et commence à l’astiquer. Nous nous masturbons de concert à quelques pas l’un de l’autre en nous regardant faire. Lorsque je risque un pas vers elle et fais mine de me rapprocher, elle me demande fermement de rester où je suis, elle préfère que nous restions là, que nous continuions à nous caresser sans nous toucher. Elle a peut-être peur des conséquences d’une trop grande proximité.
    
    Je vois la jouissance peu à peu monter en elle : ses gestes se font plus brusques, elle triture ses seins comme une damnée et écarte encore plus ses cuisses pour mieux se pénétrer. De mon côté, je m’astique sans relâche en pétrissant mes couilles. Elle n’en perd pas une miette. Nous arrivons l’un et l’autre sur le point de non-retour, au bord de l’explosion. Nous gémissons, nous sommes en rut, nos feulements remplissent la forêt. Puis c’est enfin la libération. Je jouis en abondance, tandis que ma comparse est secouée de longs spasmes. Elle se frotte encore un long moment, sans aucune retenue. C’est beau à voir, une femme qui prend ainsi son pied !
    
    Elle revient enfin sur ...