1. Dans un petit sous-bois


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fh, voisins, handicap, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral Auteur: Tosecra, Source: Revebebe

    ... sûr toujours un jeu de séduction assez subtil qui s’établit entre personnes du sexe opposé. Aussi ai-je eu l’impression, l’espace d’un instant, qu’elle cherchait insidieusement à me draguer mais à cette époque j’étais toujours avec ma compagne, et il était hors de question pour moi d’aller voir ailleurs.
    
    Toujours est-il que la voici maintenant à moitié nue, en train de se caresser, devant mes yeux ébahis. Pour une surprise, c’est une surprise, surtout qu’elle finit de se mettre à l’aise en retirant entièrement son tee-shirt pour dévoiler une poitrine lourde et épaisse, dont elle maltraite les bouts avec envie. Elle ne porte ni soutien-gorge, ni culotte. L’idée d’une fille qui se balade sans sous-vêtements en pleine nature est en soi excitant. Cela sous-entend également que cette escapade était préméditée.
    
    Une de ses mains fouille sa foune tandis que l’autre maltraite ses tétons. Elle en veut sacrément, la drôlesse ! Elle se concentre sur sa masturbation, à la recherche de son plaisir. Puis elle retire complètement son pantalon afin d’être plus à l’aise et, à l’exception de ses chaussures orthopédiques, elle se retrouve entièrement nue.
    
    C’est alors que je la vois se lever et s’enrouler lascivement autour d’un tronc d’arbre. Elle enserre l’objet, ses cuisses enrobent le tronc, elle se frotte comme une nympho contre l’écorce. Je n’en crois pas mes yeux : ça a beau être un bouleau, ça doit quand même lui faire mal, ce qui ne l’empêche pas de se frotter à l’arbre. Elle ...
    ... donne même des coups de reins, comme si elle baisait un mec. Puis elle se rassoit sur la grosse souche et en revient à une masturbation plus conventionnelle. Elle écarte bien les cuisses et s’enfonce plusieurs doigts profondément. Cette fois-ci, je n’en peux plus, c’en est trop pour moi, je sors mon sexe et commence à me masturber lentement. Pauline se branle désormais avec tous ses doigts, elle se gratte, elle s’empale, elle se déchaine contre sa chatte large et poilue. Elle en veut, cette gourgandine, et moi, de mon côté, je m’astique comme un dingue en la regardant.
    
    L’heure n’est plus tellement aux précautions ; je dois même faire pas mal de bruit, une brindille qui craque sous ma chaussure ou le bruit soutenu de ma respiration. Elle perçoit quelque chose, elle s’arrête dans son élan. Inquiète, aux aguets, elle scrute vers les feuillages. Puis elle saisit vite fait ses habits et s’enfuit en claudiquant vers sa voiture, à poil à travers le sous-bois. J’entends une porte claquer, le moteur qui démarre, puis la bagnole qui s’éloigne.
    
    Quel con j’ai été de lui foutre ainsi la frousse ! Je remballe mes outils et regagne tout penaud le petit chemin, désolé de cet incident malencontreux. C’est alors que je m’aperçois que sa voiture est arrêtée près de la mienne, qui est garée beaucoup plus loin, du côté de la route. L’a-t-elle reconnue ? Cela ne fait guère de doute : c’est un très vieux modèle, facilement reconnaissable, il n’y a pas trente-six mille personnes qui ont ce genre ...