1. Histoire des libertines (8) : Théodora, la putain devenue impératrice de Byzance.


    Datte: 18/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... édifiantes, mais dont raffole la population.
    
    PRECOCITE SEXUELLE
    
    Procope n’hésite pas à lui accorder une activité sexuelle très précoce. Dans son « histoire secrète » les Anecdota, il note que Théodora, encore nubile, «se laissait aller à de répugnants accouplements d’hommes (en clair elle se faisait sodomiser) avec certains misérables, esclaves de surcroît, qui, suivant leurs maîtres au théâtre, trouvaient dans cette abomination un soulagement à leur malheur – et elle consacrait aussi au lupanar beaucoup de temps à cet usage contre nature de son corps ».
    
    EXHIBITIONNISTE ET SANS PUDEUR
    
    Théodora, devenue une actrice-mime, elle montrait sans gêne son corps à tous ceux qui voulaient bien le voir, gardant sa culotte pour couvrir ses parties génitales, non dans un souci de pudeur, mais bien parce que la loi l’obligeait. De plus, Procope nous la décrivit comme une femme ayant un appétit sexuel insatiable, se rendant dans des fêtes et offrant son corps à tous les hommes présents pour ensuite continuer avec leurs esclaves. L’auteur nous dit aussi qu’elle n’était pas honteuse de sa conduite et qu’au contraire, elle ne perdait jamais une occasion de montrer sa poitrine en public, ou d’accomplir des gestes et des scènes obscènes au théâtre.
    
    Procope nous donna le portrait d’une femme n’ayant aucune pudeur. Étant devenue une actrice-mime, elle montrait sans gêne son corps à tous ceux qui voulaient bien le voir, gardant sa culotte pour couvrir ses parties génitales, non dans ...
    ... un souci de pudeur, mais bien parce que la loi l’obligeait. Théodora se montrait souvent presque nue sur la scène : « Souvent en plein théâtre, (…) elle se dépouillait de ses vêtements et s'avançait nue au milieu de la scène, n'ayant qu'une ceinture autour de ses reins, non qu'elle rougît de montrer le reste au public, mais parce que les règlements ne permettaient pas d'aller au-delà. Quand elle était dans cette attitude, elle se couchait sur le sol et se renversait en arrière; des garçons de théâtre, auxquels la commission en était donnée, jetaient des grains d'orge par-dessus sa ceinture; et des oies, dressées à ce sujet, venaient les prendre un à un dans cet endroit (dans sa vulve) »
    
    Non seulement, en effet, elle était sans pudeur, mais elle voulait la faire disparaître chez les autres. Souvent elle se mettait nue au milieu des mimes, se penchait en avant, et rejetant en arrière les hanches, elle prétendait enseigner à ceux qui la connaissaient intimement, comme à ceux qui n'avaient pas encore eu ses faveurs, le jeu de la palestre qui lui était familier.
    
    PARTOUZEUSE
    
    Son goût pour une sexualité débridée aurait débutée alors qu’elle était assistante de sa grande sœur Comito, dans ses débuts au théâtre. Procope nous la décrivit comme une femme ayant un appétit sexuel insatiable, se rendant dans des fêtes et offrant son corps à tous les hommes présents pour ensuite continuer avec leurs esclaves :
    
    «Elle couchait avec tous les convives et lorsque tous abandonnaient, ...
«1234...7»