1. un chien qui s'ignore 10


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... que pour les satisfaire et ils avaient hâte de m’utiliser comme vide couille. J’entendais leurs commentaires à savoir, qui allait passer le premier dans ma bouche ou dans mon cul. Ils se rapprochaient tous de moi en rigolant.
    
    Nolwenn les devança et me tripota mes couilles étirées par ma cage. Elle tira sur la cage de métal qui ne m’avait pas quittée depuis deux siècles. Une douleur tirailla mon sexe collé à son étui puis j’éprouvai un soulagement intense d’être libéré. Nolwenn tenait dans ses mains ma cage de chasteté. Un flot de liquide se répandit sur le sol.
    
    Aussitôt je sentis mon sexe grossir de retrouver son espace.
    
    ‘Regardez le comme il est content, il frétille déjà de sa petite queue !’
    
    ‘Allez faites lui sa fête, Rex le chien est là pour être fourré et rempli. Allez y franco, il aime la douleur’
    
    Tous ricanèrent et s’approchèrent, certains tapaient de leur mon cul offert, d’autres frottaient leur queue sur mon front, mes joues.
    
    Sans préambule, je sentis un sexe forcer mon anus encore douloureux. Il me força sans ménagement et me pénétra d’un coup brutal. Une queue s’enfourna dans ma bouche, lorsque je poussais un cri de douleur. Mon enculeur me travaillait tellement fort que la bite dans ma bouche allait toujours plus profond dans ma gorge. Je toussais, m’étouffais, crachais. Le rythme était donné. Nolwenn les avait bien briffés. Ils se relayaient sans discontinuer. Cinq attendaient devant et cinq derrière. Nolwenn faisait ses gros plans lorsque 2 ...
    ... queues tentaient d’entrer dans ma bouche déformée.
    
    Bref, je fus bientôt couvert de sperme sur le visage, malgré les flots que j’ai dû avaler de force. Je toussais et crachais lorsqu’ils eurent fini de me besogner, je sentais mon visage et mon crâne englué de sperme. Mon cul en feu coulait d’un liquide visqueux qui me coulait sur les couilles et les cuisses.
    
    Je croyais en avoir terminé.
    
    Mes violeurs se rhabillaient et d’une claque sur les fesses me félicitaient et m’insultaient. Nolwenn comptait les billets amassés.
    
    ‘Hum bonne pioche ! Ton cul commence à nous rapporter. A 50 € la passe, ça fait 500 € l’heure. ‘
    
    ‘Bon allez, le temps tourne et ta deuxième prestation approche. Tu vas voir, ça va te plaire. En tout cas, ça va être un tournant dans ta nouvelle carrière !’
    
    Je connaissais bien Nolwenn et je ne doutais pas de ses paroles.
    
    Elle se dirigea vers le placard et sortis un mors de cheval et une sorte de ceinture. Elle se mit sur mon dos et plaça le mors entre mes dents. Elle tira si fort sur les sangles reliées à mon collier que le mors arrivait au niveau des molaires, écartelant mes lèvres dans un rictus ridicule, la langue repliée.
    
    Elle serra une large ceinture en cuir sur ma taille et l’accrocha au treuil qu’elle avait descendu. J’entendis à nouveau le moteur s’enclencher et tirer mon dos en hauteur. J’étais à genoux, ma position habituelle depuis ces semaines dernières. Je me retrouvai les fesses exposées en l’air, les cuisses mi tendues et bien sûr ...
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