1. un chien qui s'ignore 10


    Datte: 16/10/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: perver38, Source: xHamster

    Relire les épisodes précédents sur ma déchéance orchestrée par trois femmes déterminées
    
    Le pire de tout, c’est qu’elle le fit.
    
    J’eus droit à une nuit (ou journée ?) de ‘repos’, recroquevillé à nouveau dans ma niche, mes gamelles remplies. Mon cul, ou ce qu’il en restait et mes bouches étaient enflés et douloureux. Le sperme séchait et collait sur mon visage.
    
    Je m’endormis rapidement.
    
    L’ouverture de la porte de ma cache me réveilla au matin et déjà une main ferme me tirait par une oreille pour me sortir de ma cage. Je tentais de résister et gémissais ‘non s’il vous plait non’, mais la pression sur mon oreille augmenta.
    
    La chaine de mon collier se tendit et je retrouvais ma place, crocheté à l’anneau mural.
    
    Sans un mot, Nolwenn ouvrit la porte du placard et prit à ma grande frayeur le fouet que Mme Laurence avait utilisé. Je tremblais de tout mon corps sans pouvoir me contrôler et me recroquevillais contre le mur.
    
    ‘Je vais t’apprendre à obéir, sale petite pute ! Quand j’ouvre ta cage, tu sors sans pleurnicher.’
    
    Je me mettais en boule lorsqu’elle leva le bras et aussitôt le fouet s’abattit sur mon dos, mes cuisses, mes bras. Je réussis à ne pas hurler. Heureusement ma punition fut de courte durée, le fouet s’arrêta au bout d’une dizaine de coups meurtriers.
    
    Pendant que je pleurnichais roulé en boule, je l’entendis ranger le fouet et m’annoncer qu’une séance allait avoir lieu
    
    ‘Aujourd’hui, je vais appeler ça, ‘Défonce à la chaine’’
    
    Ma gardienne ...
    ... procéda au rituel de la douche.
    
    J’attendais à 4 pattes mes tortionnaires, fixé au mur à mon crochet mural, comme du bétail qu’on destine à l’abattoir. J’étais trop abattu et déprimé pour analyser ce qui m’attendait. Je profitais en urgence d’un moment de repos, presque agréable pendant lequel, je pouvais redresser mon dos, détendre mes membres et respirer un air sain. J’appréciais également que mes couilles ne soient pas reliées à nouveau à la grille derrière moi. Je savais que ma vraie place était en cage au milieu de ma litière infecte et mes gamelles…
    
    J’entendis des bruits de conversation derrière la lourde porte du local, mon seul horizon depuis une éternité. J’avais du mal à me rappeler le sous sol et l’extérieur du pavillon. Ma vie s’arrêtait à ma cage, ma nourriture, ma douche froide au jet et mes saillies, comme l’appelaient ainsi Nolwenn mes viols à répétition.
    
    La porte s’ouvrit et je frissonnais d’angoisse, sachant ce que j’allais subir désormais. Comme d’habitude des sifflements, des claques sur les fesses, des commentaires salaces accompagnèrent l’entrée de plusieurs hommes. Une dizaine d’après le nombre de pieds que je pouvais voir, bloqué par mon collier minerve.
    
    Déjà ils se préparaient pour la grand messe : certains à poils, d’autres uniquement le sexe à l’air, s’astiquaient.
    
    Nolwenn en grande prêtresse donnait ses instructions : ne pas passer devant la caméra, la prévenir avoir chaque éjaculation de manière à resserrer le plan.
    
    Je n’étais là ...
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