La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1340)
Datte: 16/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... cela durant tout le temps que dura la danse. Jusqu’à ce que les dernières notes laissèrent place aux abondants applaudissements, je n’avais pensé à rien comme il était possible de ne penser à rien lorsque nous étions heureux. La réalité revint assez rapidement grâce aux bruits des dits applaudissements. J’exécutais une nouvelle révérence envers mon cavalier une fois les derniers pas finies, Monsieur le Marquis à la posture parfaitement droite, le regard haut, me répondit en claquant les talons l’un contre l’autre suivit d’un poli signe de tête accompagné d’un sourire respectueux tout en me lâchant la main.
- Je vous remercie Monsieur de m’avoir accordé le plaisir de votre bras, lui dis-je encore inclinée.
- Je sais que nous partagerons d’autre plaisir ce soir...
Le Noble me prit le bras pour me ramener à Maîtresse qui me prit immédiatement dans les siens.
- Tu as été splendide.
Je l’imaginais comme moi, à mon âge environ, dansant au bras d’un grand Maitre, comme j’ai eu l’honneur de danser moi-même et tout le plaisir que cela lui avait procuré et auquel je venais d’accéder. Se sentir telle une princesse était plaisant en soi. Ensuite, vint une autre forme de danse. J’étais conviée à un véritable ballet de présentations. Ma mère adoptive me présentait à des Maitres et Maitresses qui vantaient tours à tours Le Châtelain et Son Cheptel, ma mère et enfin moi. Nous étions présentés par Monsieur le Marquis à Monsieur le Préfet ainsi qu’à Monsieur le Commandant, ...
... qui était accompagné de soumise Keira MDE, ce soir Vanessa. Outre le fait que soumise Keira MDE était en mariée avec un autre Maitre (le Commandant), je découvrais que Monsieur le Marquis avait beaucoup d’amis hauts placés, voire très hauts placés, quand j’aperçu un ministre auquel je me dois de taire le nom. La conversation était plaisante, enrichissante, chacun ayant beaucoup de goût et de culture. Ma mère adoptive pensait avant la soirée, que nous serions la source de toutes les questions, ce qui ne fut pas forcément le cas, car visiblement les invités du Maître des lieux honoraient leur présence en s’intéressant prioritairement aux conversations élaborées du Noble hôte. Mais quelques attentifs intéressements à notre égard furent de mise, tout de même, mais je n’avais pour ma part que peu à raconter hormis ma passion pour la musique et le violon. Pour le reste, j’étais plutôt passive, ce qui ne passa pas inaperçu, laissant parler Maîtresse.
- N’ayez pas peur de nous regarder dans les yeux, Sophie, essaya Monsieur le Préfet.
L’assemblée se tue devant notre propre mutisme. Je n’avais pas pensé énormément à ce cas de figure. Un murmure discret de Maîtresse m’indiqua que je pouvais répondre à ma convenance.
- Monsieur le Préfet, je suis malheureusement aveugle vous comprendrez donc que cela m’est compliqué.
J’avais essayé de répondre de manière amusée pour qu’il ne se sente pas peiné de sa remarque. Je n’avais jamais eu l’occasion de devoir le préciser, côtoyant ...