1. Deux paires de deux


    Datte: 15/10/2019, Catégories: fh, intermast, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... et les morsures délicates dans mon cou. Maintenant, il est complètement entré en moi, je me sens pleine. Il commence un lent va-et-vient. Une main relâche mon sein pour fourrager dans ma fente détrempée. L’instant d’après, nos deux corps sont agités de soubresauts, mes fesses cherchent sa queue afin qu’il se plante plus loin en moi, il me pistonne tout en imprimant à son engin un mouvement circulaire, se frottant sur mon cul, épousant impudiquement sa rondeur.
    
    Ses doigts excitent sans le toucher directement mon clitoris en fusion, mon téton entre ses doigts, mon sein en pleine main, sa bouche qui s’est rivée à la mienne, j’explose. Des tas d’étoiles fusent à mes yeux, une onde, une vague puissante m’envahit et je me laisse porter, heureuse, comblée. Je me sens pleine de lui.
    
    Durant des heures, il continue à m’aimer, à plonger en moi, à se caler entre mes seins, dans ma bouche. Toute la nuit, je goûte chaque parcelle de son corps, le goût âcre de son sperme comme lui qui n’oublie rien d’explorer sur et dans mon pauvre petit corps en folie trempé de sueur et de désir. C’est quand j’ai exigé, une dernière fois, de lui qu’il replonge en moi pour me combler, me forcer de son engin, que quand j’ai goûté à nouveau de son sexe trempé de nos sécrétions jusqu’à ce qu’il mollisse dans ma bouche, que nous nous sommes endormis emmêlés, fatigués, épuisés, mais rassasiés.
    
    À présent, le lit est un véritable champ de bataille. Nous venons juste de refaire l’amour, j’ai ignoblement ...
    ... profité d’un commencement d’érection ! Et bien sûr, il s’est laissé faire, m’en mettant partout ! Ma tête repose sur son ventre, il caresse tendrement mes seins, jouant souvent avec leurs pointes dressées. Je sens son regard brûlant posé sur moi, il semble rire doucement, se souvenant vraisemblablement de tout ce qui s’est passé et me dit :
    
    — Eh bien, il ne faut pas t’en promettre ! Tu mettrais à genoux tout un régiment !
    — Idiot, va !
    
    Un peu plus tard, comme l’heure tourne, nous nous décidons à quitter notre lit dévasté. Après avoir plongé dans le réfrigérateur à la recherche de quoi boire et de quoi grignoter, nous regagnons le salon. Il s’adosse au mur, bras croisés :
    
    — Bon ma chérie, nous sommes presque arrivés à l’heure fatidique…
    — Eh oui, ça a passé vite ! Trop vite !
    — Je suis d’accord avec toi. Parlons peu, mais parlons bien : acceptes-tu de jouer les prolongations avec moi ?
    — Tu veux un week-end, une semaine de plus ? C’est ça ?
    — Pour commencer, ça serait bien. Mais j’escompte bien renouveler le bail plusieurs milliers de fois !
    — Plusieurs milliers de fois ?
    — Tu as cinquante-deux semaines dans une année, j’arrondis à cinquante. Toi comme moi, on peut compter vivre encore cinquante, disons soixante ans, soit six fois-cinquante, ce qui fait trois cents. Tu ajoutes un zéro pour faire soixante, et ça fait trois mille.
    
    Je le regarde, bouche bée :
    
    — Tu… tu plaisantes ?
    
    Il s’approche de moi pour m’enlacer :
    
    — Pas du tout ! Je suis même très ...