1. Tempête de neige


    Datte: 15/10/2019, Catégories: fh, cocus, Collègues / Travail Oral préservati, confession, occasion, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... meilleur pour moi. Je suis un peu moins dur, un peu plus souple et mon mandrin peut maintenant quitter la chaleur de mon ventre sans protester.
    
    La vie est remplie de gestes simples dont il ne faut surtout pas se priver. L’expérience sait retenir la leçon et c’est un délice de voir ma maîtresse d’un soir faire dérouler le latex sur ma verge.
    
    — Ma chérie, tu es ouverte comme jamais. Ils t’ont bien bourrée, hein. Tu verras le film que j’ai fait. Tu étais magnifique. Coquine… Cochonne… Oui, tortille-toi…
    
    C’est une voix qui provient de la télé. La télé où la vidéo a continué. En un instant, je comprends que c’est le mari qui parle à notre formatrice. Le mari qui filme dans une glace. Pour la première fois, il est acteur et pas seulement spectateur. Il tient la caméra d’une main, visant le miroir où on le voit prendre sa femme en levrette et lui parler. La vidéo n’est pas très stable, mais il est difficile de baiser une femme tout en filmant.
    
    Les voir ainsi m’inspire.
    
    Je guide Anaïs, mais elle comprend très vite pour l’installer à quatre pattes sur le canapé. Je m’enfonce dans sa chatte avec une facilité coupable. Que c’est bon ! Elle aussi tortille du cul pour bien sentir mon bâton. Moi je n’ai pas de caméra, mais mes yeux suffisent à mon bonheur et mes mains sont libres pour agripper les hanches de la femme et la bourrer aussitôt sans retenue.
    
    Je vois bien qu’Anaïs a tourné la tête vers la télé. J’imagine qu’elle mélange les genres, comme moi je le fais. C’est ...
    ... un peu comme si nous étions deux couples dans la même pièce. Elle aussi doit comprendre combien le mari candauliste est heureux de ce qu’il a vu et aussi de l’excitation que cela lui procure.
    
    Il baise sa femme.
    
    Je baise ma maîtresse.
    
    Tous les deux, glissons notre queue dans une chatte grasse à souhait et si lorsque nous nous retirons c’est pour mieux l’envahir à nouveau.
    
    Pendant un long moment, il zoome sur sa possession. Moi, bien sûr, c’est une vue que je connais bien et d’ailleurs j’ai un exemple parfait sous les yeux. Mais pour Anaïs, à moins d’avoir déjà regardé des vidéos pornos, c’est une première. Elle peut sans peine imaginer que sur l’écran c’est sa fente et que la bite qui entre et sort c’est la mienne. Dans ces moments-là, on ne s’attarde pas des détails comme une capote.
    
    Bien sûr, certains bruits et gémissements viennent se mélanger aux nôtres. D’ailleurs j’en profite de trouver la télécommande et augmenter le son.
    
    — Quel dommage qu’ils n’aient pas craché leur jus dans tes trous. Je ne connais rien de meilleur que te baiser dans le foutre d’un autre, dit le mari alors qu’il s’active.
    
    Cette pensée m’excite au plus haut point. Bien sûr, j’ai déjà pris ma femme après avoir joui en elle, mais la perversité de savoir que le sperme est d’un autre est une révélation. Anaïs est secouée par mes possessions. J’ai le plaisir de l’entendre gémir de mes assauts. Quelle découverte que ces vidéos !
    
    — Ton petit trou bâille encore. On dirait que lui aussi ...