1. Tempête de neige


    Datte: 15/10/2019, Catégories: fh, cocus, Collègues / Travail Oral préservati, confession, occasion, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... allongée, même si ses jambes montent le long du dossier, c’est beaucoup plus confortable que moi. À moitié fléchi. À moitié allongé. Rapidement mes jambes et mes bras sont en feu. De temps en temps, je me penche assez en avant pour aller sucer sa fente. À chaque fois, ma queue est avertie du plaisir que ma caresse apporte.
    
    Mon excitation est énorme. Je pourrais tenir encore un long moment, mais j’ai peur qu’Anaïs fatigue. Il ne faut jamais abuser des bonnes choses.
    
    Je me redresse un peu afin de pouvoir profiter de ce spectacle. De ma queue qui disparaît et que je crois voir déformer le cou même si je sais que c’est faux. De ce visage souillé, mais au combien vivant. Des narines qui se pincent. Des yeux dont je croise le regard alors que je me dégage.
    
    Alors l’intellect vient s’ajouter au physique. L’autorisation part du cerveau : « C’est bon. Tu peux finir ».
    
    Quelques petits mouvements. Une vibration. Un frisson. L’impression que tout se rassemble et enfin…
    
    — Je viens ! Je viens ! Oui…
    
    Oui, ma semence se rue. Anaïs ne peut pas l’ignorer si elle a vraiment déjà pompé une queue jusqu’à sa conclusion.
    
    Je coule. Je gicle. Je me vide. J’ai le réflexe de quitter la profondeur de la gorge pour ne pas étouffer ma maîtresse. Les lèvres sont littéralement greffées à la base de mon gland.
    
    Quelques secondes et je me retire. Je sais combien c’est difficile pour la femme de rester avec du foutre collé au palais.
    
    Je l’aide à se relever. Son visage est dévasté, ...
    ... gras, gluant.
    
    Ce n’est pas une innocente qui entrouvre ses lèvres, le temps de me montrer ma liqueur. Elle transpire la perversité. Qu’elle est loin la stagiaire qui se montre si sage, en retrait pendant les cours.
    
    C’est encore meilleur. Je me fais l’effet d’un initiateur, d’un découvreur de talent. Dix, quinze années nous séparent. Elle ne doit guère dépasser les vingt-cinq ans. Mais quel potentiel ! Quelle envie de bien faire ! Je prie pour qu’elle trouve d’autres initiateurs si son compagnon est trop sage.
    
    Je m’en approche. Elle me suit du regard. Lorsque je touche ses lèvres, elles sentent mon foutre. Je l’embrasse. Elle s’ouvre. Ma langue qui retrouve la sienne trempe maintenant dans un océan de sperme. Je me retire. Nous nous regardons.
    
    Je ne connais rien de plus chaud que cette vision. Voir une femme avaler sa propre liqueur. Et cette femme, cette maîtresse d’un soir, si jeune, si belle, est bien loin des aventurières trop audacieuses.
    
    Mais je n’oublie pas qu’elle n’a eu que des prémices de plaisir. Extraire une capote de mon pantalon juste au sol à côté de moi, ne prend que quelques secondes.
    
    Déchirer l’enveloppe, sortir l’objet, le tendre à Anaïs, ne dure que le temps d’une respiration.
    
    C’est à ce moment qu’elle réalise que je bande toujours. Eh oui, être hypersensible n’a pas que des désavantages. Bien excité, et j’ai tout ce qu’il faut sous les yeux, je peux cracher mon jus et conserver une érection que certains pourraient m’envier. C’est même ...
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