Sports d'hiver [après le GR20, Emilie et Rémi] (2)
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... crétin, avec sa domination à la noix ? Que j’allais dire non en pleurnichant et me retirer, la queue encore bandée entre les jambes ? Entre MES jambes, et pas celles d’Emilie ? Pas question une seconde.
— Tu crois que tu vas m’avoir ? Que je vais renoncer, peut-être ? Je vais la baiser comme jamais, ta copine, je vais lui tringler le cul tellement fort qu’elle hurlera et réveillera tout le refuge !
Ils pouffèrent de rire tous les deux, à ma grande surprise. Emilie finit par murmurer : "Crois-moi, tu es loin d’y parvenir, il te faudrait faire davantage de sport, comme un bon GR en Corse…"
Et voilà. A nouveau. Plaisir, frustration, colère, humiliation, mais la possibilité du plaisir revenant… Satané couple…
Sans rien dire, je me retirai d’elle puis la pénétrai violemment. Elle gémit. Ma queue se sentit bien serrée dans son cul, tandis que le va-et-vient m’avait forcé à me laisser enculer profondément puis à faire coulisser Rémi hors de moi.
Sans tenir compte de la souffrance provoquée par une sodomie brutale, sans tenir compte non plus de l’étrange sensation sans rapport avec la douleur que me saisissait désormais lorsque je sentais Rémi bien enfoncé en moi, je poursuivis sans discontinuer.
Sodomiser Emilie était un régal. Son cul étroit se fermait sur moi à chaque retrait, se contractait, puis ma queue se frayait un chemin quand je m’affalais brutalement sur elle. Elle continuait à gémir. Je gémissais aussi, en partie de souffrance quand le gland de Rémi ...
... m’écartait lors de la pénétration, mais aussi de plaisir. Ma queue en Emilie. Celle de Rémi en moi, bien au fond. Tout était bon.
Je m’activai de plus en plus vite.
Emilie agrippait mes hanches pour accompagner mon mouvement. Rémi commença à bouger à son tour, inversant les mouvements : il me sodomisait lorsque je sodomisais Emilie, se retirait partiellement de moi lorsque je reculais.
Il saisit ma main droite et la fit passer dans son dos. Sans rien dire, il enfonça mes doigts dans son cul. Je ne savais plus ce que je faisais, comment ni pourquoi, mais je le faisais, jusqu’au bout, dominé par le plaisir. Je sodomisais, je me sodomisais sur la queue de Rémi, et je lui branlais maintenant le cul sans me poser de questions. Il commença alors lui aussi à gémir.
J’accélérai.
— Putain Emilie ton cul est trop bon, j’adore, je…
— Tais-toi. Je t’ai dit que je te laissais la sodomiser, c’est tout.
Une claque sur mes fesses.
Je me tus. De toute façon, je n’avais plus les idées assez claires pour parler avec cohérence.
Je me laissai à nouveau déborder par le plaisir. Ma queue raidit, je me plantai brutalement en Emilie avec un cri étouffé et commençai à jouir. Rémi accéléra ses mouvements en moi et saisit ma main pour l’activer plus fort dans son cul. Alors qu’anéanti de plaisir je lâchai ma cinquième giclée de sperme dans le cul d’Emilie, il me retira d’elle, me forçant à finir sur ses fesses et retirant mes doigts de son cul pour les planter dans celui d’Emilie. ...