La violoniste Laura Torillo a disparu ! (1)
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... Je ne peux pas vous garder ici aussi longtemps. Par contre, je connais très bien une coiffeuse qui tient un salon à 300 mètres d’ici. Je vais lui expliquer la situation. Elle acceptera de vous recueillir durant ces quelques heures.
Le sergent composa un numéro et une conversation s’engagea, plutôt enjouée. Quand il raccrocha, il avait un large sourire :
— En sortant du commissariat, allez à droite. Au bout de cinq minutes de marche, vous verrez un salon de coiffure à l’enseigneJennif ‘ hairs. Ce lundi, la patronne est seule présente et c’est une amie à moi. Entrez. Vous y serez très bien en attendant que je vienne vous chercher.
Garcia écrivit quelque chose sur une feuille à l’en-tête du commissariat et la lui remit ainsi que le certificat d’identité :
— Comme ça, elle sera sûre qu’il s’agit bien de la personne envoyée par mes soins !
Elle se leva pour prendre les documents qu’il lui tendait. Sa très courte robe dévoilait de bien jolies jambes...
— Tiens, vous vous appelez Garcia... vous êtes d’origine mexicaine, comme moi ? Je suis née en Californie, à Salinas, il y a vingt - six ans. Mes parents sont arrivés aux USA très jeunes, avec leurs parents. Et... vous ?
Comment ne pas répondre quand une belle inconnue se confie ainsi à vous ?
— Je suis arrivé avec mes parents au Texas, à l’âge de sept ans. Nous venions de Monterrey...
Le sergent Garcia se leva à son tour et salua la demoiselle. Aucune odeur de parfum ne flottait dans l’air ; le sien ...
... devait être discret ou bien elle n’en mettait pas. Puis, elle sortit du bureau, son étui à violon à la main.
Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna. C’était la coiffeuse : « Laura » était bien arrivée dans son salon. Il ne lui restait plus qu’à attendre la fin de son service.
Le temps paru bien long au sergent Garcia. Et quand l’horloge afficha 16 heures, il se leva, salua l’agent qui le remplaçait et se précipita au-dehors. Peu après, il entrait dans le salon de coiffure, le cœur battant... Une délicieuse apparition s’offrait à son regard : celle qui se faisait appeler Laura était assise sur un des sièges du salon. Son regard se porta tout naturellement sur ses jolies cuisses un peu rondes largement exposées. Il se rendit compte aussi que sa poitrine était tout aussi avenante. Elle bavardait gaiement avec Juanita, la coiffeuse, qui se tourna vers lui, en le voyant entrer :
— Eh bien, votre chevalier servant est arrivé !
Garcia soupira. Décidément, elle avait toujours le mot pour rire. Et tandis que Laura se dirigeait vers les toilettes. Juanita agita un papier devant le sergent :
— Tu me dois vingt dollars, Manuel !
— Hein ? Vingt dollars ? C’est quoi, ça ?
Juanita leva les yeux au ciel :
— Madre de Dios ! Ah... les hommes... J’ai bien vu que tu matais les cuisses de ta copine, mais t’as même pas regardé sa tête, ses cheveux, plutôt... Quand elle est arrivée ici, j’ai vu que sa coloration avait besoin d’être refaite. Alors, comme je n’avais pas de ...