1. Toutes les femmes s’appellent Marie : La caissière du supermarché


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... Sincèrement, tu ne les fais pas et quand tu es comme ça, encore moins !
    
    Salaud ! lance-t-elle en riant. Alors maintenant, dis moi.
    
    Dis-moi quoi ?
    
    Ben, tes maîtresses, elles ont plus jeunes ou plus vieilles ?
    
    C’est important ?
    
    Je ne sais pas, c’est pour savoir.
    
    Bon, alors plus jeunes et plus vieilles
    
    Mais arrête !
    
    Je t’explique. La plus jeune a quarante ans et la plus vieille soixante dix. Tu es contente ?
    
    Oh ! Mais…
    
    Tu vois, tu es tombé sur un vicieux ! Désolé pour toi ! Il vaut mieux que tu le saches et qu’on arrête tout.
    
    Tu es fou ! Cà ne me gêne pas du tout ! Je suis sûre que ces femmes mêmes vieilles doivent être charmantes. Simplement, je n’ai jamais connu quelqu’un qui le dise comme ça. Non, non, je ne veux pas arrêter… enfin, si toi tu veux bien continuer… un peu.
    
    Tu es une très belle femme…
    
    N’exagère pas, je connais mes défauts
    
    Tu es une très belle femme, donc, je persiste et je suis sûr qu’il y a beaucoup d’hommes qui rêvent de te séduire !
    
    Peut-être, ce n’est pas du tout sûr ! En revanche, il y en a un qui m’a séduite.
    
    Je suis un peu vieux !
    
    Arrête ! Tu me fais jouir comme une folle. Mon ex-mari m’a longtemps obligé à me taire en faisant l’amour et mon ancien copain, ne m’a jamais fait crier. Toi tu m’excites, tu me fais crier et en plus tu aimes ça !
    
    Je suis aussi un libertin !
    
    Libertin ? Tu veux dire que tu aimes t’amuser avec d’autres partenaires ? Voire plusieurs ?
    
    Oui ! Je fréquente les clubs et ...
    ... saunas libertins. Cà te choque ?
    
    Parce que tu crois que ça peut m’arrêter ? Si tu veux t’amuser, pas de problème et si tu me montres, peut-être que moi aussi j’aimerais !»
    
    Ce petit dialogue nous a bien excités tous les deux, aussi, posant nos verres, nous reprenons nos ébats.
    
    Marie est une sacrée coquine, toujours en quête de nouveautés. Elle enchaine les positions. Dessous, dessus, sur le côté, passant souvent par la levrette qu’elle semble apprécier. Nous avons ce point en commun car d’une part, sa croupe ressort particulièrement lorsqu’elle se penche en avant et d’autre part, ses muscles internes semblent plus actifs. Ma bite est littéralement massée à l’intérieur de sa gaine onctueuse. Elle en profite pour caresser son clitoris et augmenter son plaisir. Certains hommes sont vexés que la femme se caresse, pensant qu’ils n’apportent pas assez de plaisir avec leur appendice. Pour ma part, j’aime que la femme prenne du plaisir lorsque nous baisons, que ce soit elle, moi, ou un autre qui la fasse décoller à ce moment-là, ne me dérange pas du tout.
    
    Complètement relâchée avec moi, Marie exprime haut et fort ses besoins, ses envies, ses sensations et lâche un grand Ouiiiiiiiii quand elle jouit, ce qui lui arrive plusieurs fois cette nuit-là.
    
    Elle s’endort ensuite comme une masse au moment ou enfin j’éjacule au fond de son vagin. Après une dernier baiser sur sa fesse je nous recouvre de la couette, l’enlace, collé derrière elle en chien de fusil je m’endors à mon ...
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