Toutes les femmes s’appellent Marie : La caissière du supermarché
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... mouvements par les siens. Dans la glace, tout comme moi, elle observe notre couple en action, le visage éclairé d’un grand sourire. Ce n’est que quand son plaisir monte trop, qu’elle secoue sa tête et sa chevelure blonde, qu’elle ne peut plus regarder notre reflet. A son habitude, elle débite des insanités :
- « Oh oui salaud ! C’est bon ce que tu me fais ! Cà te plait de me baiser devant la glace ! De voir mon cul ! Je te sens bien comme ça ! Oui ! Défonce-moi ! Je suis une salope ! J’aime ça oui ! Vas-y ! Donne-moi ton foutre ! Arrose-moi ! Je veux te sentir jouir dans mon ventre ! »
Je ne m’économise pas, sachant que la coquine jouit rapidement, je ne lâche pas notre coït des yeux dans la glace et sentant monter ma jouissance, je lui annonce :
- « Oh oui ! Salope ! Je vais te foutre ! Je jouis ! Tiens ! Prends ça ! Oui il est beau ton cul ! »
Agrippé à ses hanches pleines je lâche mon sperme dans son corps brûlant. Marie crie une dernière fois avant de s’effondrer sur le dossier, ses cheveux blonds recouvrant son visage. Son corps est luisant de sueur, le mien n’est pas mieux. La coquine avait poussé le chauffage comme elle me l’avouera plus tard. Elle a tellement préparé la chose qu’après avoir retrouvé un peu de calme, elle se précipite, merveilleusement nue, impudique, vers la cuisine d’où elle ramène une troisième bouteille qu’elle avait mise au frais.
Bien sûr, nous ne nous quittons pas comme cela et nous retrouvons tous les deux dans son lit, plutôt ...
... grand d’ailleurs, la bouteille et les verres nous ont suivis et nous buvons à ce moment précieux.
« Il y a longtemps que je n’avais pas fais l’amour comme ça ! Cà me fait du bien si tu savais !
C’est vrai que tu as l’air épanouie. Mais dis-moi, tu as un peu prémédité la chose non ?
Oh !... Pardonne-moi, mais l’autre soir tu m’as donné envie, quand tu as vu les… photos ! Tu t’es bien rincé l’œil en plus. J’étais confuse et en même temps excitée. Mais dis-moi à ton tour, je ne t’ai pas violé tout de même, tu as vite démarré !
Tu es une belle femme…
N’exagère pas tout de même !
Si, si je t’assure ! Tu as un charme fou ! Tes yeux m’ont vite ensorcelé. Si je suis venu l’autre soir, c’est aussi parce que tu me plaisais !
Ah ah ! Petit canaillou !
Bon ! On est à égalité à ce niveau.
Mais… Tu n’as pas une amie toi ?
On va dire plusieurs…
Tu n’es pas banal ! Donc, tu m’as sautée sans remords ?
Oui ! Je ne sais pas si tu le regrettes, mais, moi j’ai adoré !
Moi aussi, mais demain tu vas repartir…
Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Ben… tes… conquêtes, tu vas retourner auprès d’elles !
Puisqu’il y en a plusieurs, pourquoi pas une de plus ?
Tu vas assurer ? Je suppose qu’elles sont plus jeunes que moi.
Pas forcément.
Comment ça ?
Premièrement, je ne connais pas ton âge, et cela ne se demande pas. Il est possible qu’elles soient plus jeunes ou plus vieilles.
Non ! Tu n’es pas possible ! J’ai cinquante cinq ans.
C’est pas vrai ? ...